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Son nom et sa généalogie Abou Bakr Jâbir Al-Jazâiri Son père et sa mère, tous deux algériens, sont issues tous deux de familles traditionalistes, connus pour leur piété, ou le Coran est appris et récité. Ses ancêtres se sont succédés dans la tâche de l’enseignement du Coran dans cette contrée. Sa naissance Il est né en 1921, au village de Lioua, à 40 km de Biskra, renommée la reine du sud algérien. Son enfance Il fut orphelin de père à moins d’un an et fut gardé par sa mère. Ses oncles maternels et paternels l’entretenaient. Il vécut dans un milieu où prévalait le sérieux. Loin des caprices et des distractions qu’il avait rarement connu. La garde des moutons et l’agriculture étaient ses occupations, tout en fréquentant l’école coranique du village. Ses études Dans la primeure de sa scolarité, le Cheikh apprit le Coran par cœur. Il le termina à l’age de neuf ans. Il y apprit aussi le poème d’ "Al-Ajroumiya", traitant de la grammaire arabe et le poème d’Ibn ’Achir traitant de la jurisprudence, selon le rite malékite. Il se rendit a Biskra et devint le disciple du cheikh Na’im Nâ’imi, l’un des savants de cette ville. Entre temps, un éminent cheikh el-mattougui, vint s’installer à Lioua, village natal de l’auteur. Celui-ci retourna chez lui pour assister au cours d’arabe littéraire du cheikh, à ses cours de jurisprudence, de hadiths, de logique et d’autre disciplines. Il joignit le disciple du cheikh tayeb Al-’Oqbi, l’un des amis du grand militant Abdel-Hamid Ben Badis. Tayeb Al-’Oqbi était très célèbre dans le domaine du savoir et de la rénovation des mœurs. Le cheikh Djazâiri lui tint compagnie de longues années pour apprendre de lui l’exégèse du Coran. Cette compagnie imprégna profondément notre cheikh. Il considérait ce professeur comme le plus illustre de ses professeurs. Il l’avait orienté vers la voie la plus sûre. Son enseignement et ses autres activités Encore jeune, il se rendit à la capitale (Alger) pour enseigner dans une de ses écoles coranique. Une ère nouvelle s’ouvrit a lui. Il prit part à plusieurs activités islamiques de ce temps, telles que "l’association d’appel à l’islam" et celle "des jeunes croyants". Il fit de la presse, fonda le journal "elDâ’i" et en prit la direction. Comme son nom l’indique, ce journal fut un appel à l’unification de tous les partis et associations algériens pour constituer une communauté musulmane, à l’arrêt du journal on lui confia la direction du journal "liwa" (l’étendard), porte parle de "la jeunesse des croyants". Il ne cesse d’y travailler jusqu’à son émigration à Médine en 1951, ou il poursuivit ses activités en qualité d’enseignant et d’étudiant. Il obtint la licence de la direction des juges à la Mecque, lui permettant d’enseigner à la mosquée de Médine, chaire qu’il occupe jusqu’à présent. Entre temps il s’inscrivit à l’Université religieuse de Riyad qui lui décerna le grade universitaire supérieur en 1960. Le cheikh enseigna aux écoles et universités de l’Arabie Saoudite, ainsi qu’à l’institut de Hadith de Médine, jusqu’au jour ou il fut définitivement nommé comme professeur à l’université islamique lors de sa création en 1960. Il n’a cessé d’y poursuivre ses cours jusqu’à sa retraite. Parallèlement aux cours libres tenus jusqu’à ce jour à la mosquée de Médine devant un public considérable. Signalons que le cheikh a accompli quatre fois, devant ce public, l’exégèse du Coran. Il répond sans cesse aux questions des pèlerins de passage ou aux visiteurs de la mosquée du Prophète (Salut et bénédiction su lui), leur réservant des séances quotidiennes et hebdomadaires, ne cessant d’être au service de l’enseignement et des étudiants depuis qu’il se trouve à Médine. Parmi ses livres - La plus aisée des exégèses [Aysar At-tafâsir] - Ce bien-aimé (biographie du Prophète) - La voie du musulman (jurisprudence musulmane) Qu’Allah le récompense et le préserve !
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Il est ‘Abder-Rahman ibn Nacir ibn Barrak ibn Ibrahim Al Barrak. Naissance : 1352 de l’Hegire, le cheikh a 74 ans en cette année de 1426. Le cheikh est aveugle depuis l’âge de 9 ans. Ses études : Il commença son étude très jeune, il apprit le Coran très tôt. Ensuite il étudia chez les grands érudits, parmi eux : - Cheykh ‘Abdel‘Aziz ibn ‘Abdallah ibn Baz. - Cheykh Mouhammad ibn Mouqbil Al Mouqbil. ( Il était juge d’Al Bakirya) - Cheykh ‘Abdel‘Aziz ibn ‘Abdallah As-Soubayl. - Cheykh Salih ibn Houssayn Al ‘Iraqi. Le Cheykh étudia chez ces érudits dans le Tawhid, la jurisprudence, le hadith, le tafsir, la langue arabe, etc. Il étudia aussi chez le cheykh Mouhammad Al Amin Ach-Chanqiti, cheykh ‘Abder-Razzaq ‘Afifi et d’autres… Mais le plus grand de ses maitres et celui duquel il s’est le plus imprégné reste le cheikh ‘Abdel‘Aziz ibn Baz chez qui il étudia plus de 50 ans, de 1369 jusqu’à la mort du cheikh en 1420, après quoi son maitre devint cheikh Al ‘Iraqi Il reçut la proposition d’être un membre du comité des grands savants et de délivrance de fatwa par cheikh Ibn Baz, mais il refusa, puis le successeur de cheikh Ibn Baz le cheikh ‘Abdel‘Aziz Al Cheykh, mufti actuel, lui réitéra la proposition, mais il refusa a nouveau, car il ne voulut pas abandonner son poste d’enseignant. Cependant, il lui est arrivé de donner des fatwas au comité lorsque les muftis descendaient dans la ville de Ta’if en été.
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Mahmud Ali Al-Banna est un récitateur du Coran, de nationalité égyptienne. Il est né le 17 décembre 1926 dans le village de Choubrabas au centre de Shebin Al Koum, gouvernorat du Munufiya au nord de l’Égypte. Mahmud Ali Al-Banna a appris le Coran à l’école coranique du village auprès du cheikh Moussa Almnattash et l’a accompli à l’âge de 11 ans. Ensuite, il part vers la ville de Tanta où il étudie les sciences religieuses (Al3ouloum Shar3iya) à la Mosquée Ahmadi et a reçu les lectures de la part de l’Imam Ibrahim bin Salam AL Maliki. En 1947, il devient le récitateur de l’association des jeunes musulmans et ouvrait toutes les célébrations de l’association. Une année plus tard, plusieurs célébrités présentes à l’assemblée de l’association telle que Maher Pacha, le Prince Abdelkrim EL Khatabi.... lui ont demandé de se joindre à la radio égyptienne. En 1948, Cheikh Al Banna rejoint la radio égyptienne, sa première récitation en direct fut en décembre de la même année, quelques années plus tard il devint parmi les récitateurs les plus connus d’Égypte. À la fin des années quarante, Cheikh Mahmud Ali EL Banna a été nommé récitateur de la mosquée « Ain EL Hayat », puis de la mosquée « Al Imam Rafi’i » à la fin des années cinquante. En 1959 il part à Tanta où il devient récitateur de la mosquée « Al Ahmadi » jusqu’en 1980 date à laquelle il commence à lire le Coran à la mosquée « Al Imam Al Hussein » jusqu’à sa mort. Cheikh Mahmud Ali Al Banna a laissé plusieurs enregistrements radiophoniques à la radio égyptienne dont le Coran (Muratal) qui l’a enregistré en 1967, le Coran (Mujawad), ainsi que plusieurs récitations du Coran (Muratal) enregistrées pour les radios de l’Arabie Saoudite et de l’Émirats arabes unis. Par ailleurs, Al Banna a visité plusieurs pays musulmans ainsi que de nombreux pays dans le monde. Il récita le Coran à La Mecque, Al Haram Al Qudsi, la mosquée des Omeyyades, la mosquée de Berlin en 1978... Cheikh Al Banna a été parmi les militants pour la création du comité des lecteurs et a été choisi en tant que vice-président lors de sa création en 1984. Cheikh Mahmud Ali Al Banna a rendu l’âme le 20 juillet 1985 (3 Dhu Al Qi3da 1405 de l’hégire) et fut inhumé au cimetière de la mosquée de son village natale de Shoubrabas. En 1990, le président égyptien a accordé à son nom le prix des Arts et des Sciences. Qu’Allah lui pardonne et lui fasse miséricorde !
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Savant d’Arabie Saoudite, élève de cheikh Ibn Baz, de cheikh Ibn Otheymine, de cheikh Al-Jibrine, de cheikh Al-Fawzan, de cheikh Al-Ghodayan et de cheikh Sadlan. Diplômé de l’université Al-Imam de Riyadh, il dispose de plusieurs fonctions dans le prêche dans son pays et à l’étranger, qu’Allah le préserve ainsi que sa famille ! Pour le contacter: [email protected]
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L’Honorable Cheikh Bakr ibn `Abd-Allah Abou Zayd (1) Sa Descendance: Bakr ibn `Abd-Allah Abou Zayd ibn Mohammad ibn `Abd-Allah ibn Bakr ibn `Othmân ibn Yahyâ ibn Ghaïhab ibn Mohammad. Ses origines remontent aux Banî Zayd Al-A`lâ, Zayd étant le fils de Souwaïd ibn Zayd ibn Souwaïd ibn Zayd ibn Hirâm ibn Souwaïd ibn Zayd Al-Qadâ`î, de la célèbre tribu des Banî Zayd Al-Qadâ`îyah, dans la commune d’Al Wachm à `Alyat Najd, où il est né en 1365 H. Son Parcours Professionnel: Il a étudié à l’école coranique jusqu’à la deuxième année du primaire. Puis il s’est déplacé à Riyad en 1375 H et y a poursuivi ses études au primaire. Par la suite, il a intégré l’Institut Scientifique puis la Faculté de Charia d’où il fut diplômé en 1387 H /1388 H en étant le major de sa promotion. En 1384 H, il s’est déplacé à Médine, où il a été désigné Secrétaire Général de la Bibliothèque Générale à l’Université Islamique. En parallèle de son parcours universitaire, il fréquentait les cours donnés par des Cheikhs savants à Riyad, à La Mecque Honorée et à Médine. En effet, à Riyad, il a appris la science du temps auprès du Cheikh et juge Saleh ibn Motlaq. Ils ont également lu vingt-cinq des Maqâmât (Séances) d’Al-Harîrî, et il les connaissait par coeur (qu’Allah lui fasse miséricorde). Dans le domaine du Fiqh, il a appris le chapitre des "Ventes" du livre "Zâd Al-Moustaqni`" d’Al-Hajjâwî. A La Mecque, il a étudié auprès de son Cheikh Son Eminence Cheikh `Abd-Al-`Azîz ibn `Abd-Allah ibn Bâz le livre du Hadj (Pèlerinage) dans "Al-Mountaqâ" d’Al-Majd ibn Taymiyya, lors du Hadj de l’an 1385 H à La Mosquée Sacrée. Il a demandé la licence scientifique pour ses connaissances auprès de l’enseignant en charge de La Mosquée Sacrée cheikh Soulaymân ibn `Abd-Ar-Rahmân ibn Hamdân, et ce dernier lui accorda une licence manuscrite attestant de sa connaissance de tous les livres de Sunna ainsi que du Moud prophétique [unité de mesure]. A Médine, il a étudié auprès de son Cheikh Son Eminence Cheikh ibn Bâz le livre "Fath Al-Bârî" et "Boulough Al-Marâm", ainsi que certains mémoires dans le domaine du Fiqh, de la croyance d’Unicité (Tawhîd) et du Hadith chez lui, car il l’a fréquenté pendant deux ans et le cheikh lui accorda la licence. Il a fréquenté également son Cheikh Son Eminence Cheikh Mohammad Al-Amîn Ach-Chanquîtî pendant près de dix ans, et ce depuis qu’il s’est installé à Médine jusqu’au décès du Cheikh pendant la période du Hadj de l’an 1393 H, qu’Allah lui fasse miséricorde. Il a étudié auprès de lui son exégèse intitulée "Adwâ’ Al-Bayân" et son mémoire "Les Arts de la Recherche et du Débat". Il a de même eu l’exclusivité d’apprendre de lui la science de la généalogie, ainsi, il a étudié auprès de lui "Al-Qasd wa Al-Oumam" d’Ibn `Abd-Al-Barr, et une partie de "Al-Inbâh" du même auteur. Il a également étudié auprès de lui des mémoires, et ils ont réalisé ensemble des recherches. Par ailleurs, il dispose de près d’une vingtaine de licences accordées par des savants des deux Mosquées Sacrées, de Riyad, du Maroc, d’Assyrie, d’Inde, d’Afrique et d’autres, qu’il a réunies ensemble. En 1399 H et 1400 H, il a intégré l’Institut Supérieur des Magistrats, d’où il a obtenu le Magistère puis en 1403, le Doctorat International. Ses Activités: En l’an 1387 H / 1388 H, lorsqu’il fut diplômé de la Faculté de Charia, il a été désigné par Décret Royal juge de la ville du Prophète (Salla Allah `Alaihi wa Sallam), et il a occupé ce poste jusqu’en 1400 H. Auparavant, en 1390 H, il fut désigné enseignant à La Mosquée Sacrée du Prophète, et il y a enseigné jusqu’en 1400 H. En 1391 H, il a été désigné par Décret Royal comme Imam et prêcheur à La Mosquée Sacrée du Prophète, et il a occupé ce poste jusqu’au début de l’année 1396 H. En 1400 H, il fut nommé procureur général au Ministère de la Justice par décret ministériel. Il a occupé ce poste jusqu’en 1412 H, année à laquelle il fut désigné, par Décret Royal, membre du Comité de la Délivrance des Fatwas et membre du Comité des Grands Savants avec le grade d’excellence. En 1405 H, il a été désigné par Décret Royal comme le représentant du Royaume à l’Assemblée Islamique Mondiale de Fiqh qui relève de l’Organisation de la Conférence Islamique, puis il fut élu président de l’Assemblée. En 1406 H, il a été désigné comme membre de l’Assemblée de Fiqh qui relève de la Ligue Islamique Mondiale. Pendant cette période, il prenait part aux conseils et aux conférences qui se tenaient à l’intérieur et à l’extérieur du Royaume, et en même temps, il enseignait à l’Institut Supérieur des Magistrats et à la Faculté de Charia à Riyad. Ses Ouvrages: Il a des contributions dans les domaines suivants: Le Fiqh, le Hadith, la langue et la culture générale: Premièrement - Dans le domaine du Fiqh: Le Fiqh des problématiques contemporaines: "Fiqh An-Nawâzil" en trois volumes comportant quinze problématiques de Fiqh nouvelles expliquées en quinze textes. 1- La législation et la contrainte 2- [Les accords nouveaux en matière de terminologie]. 3- [Les appareils de réanimation et le signal du décès]. 4- [Les bébés éprouvettes]. 5- [La lettre de caution bancaire]. 6- [Les calculs astronomiques]. 7- [La boussole]. 8- [L’assurance]. 9- [La législation et la greffe d’organes]. 10- [L’occidentalisation des termes scientifiques]. 11- [La carte de paiement]. 12- [La carte de remise]. 13- [La célébration des anniversaires]. 14- [L’expropriation immobilière]. 15- [L’art dramatique]. 16- [Approche des sciences d’Ibn Al-Qayim] Un volume. 17- [Les sanctions et les sentences judiciaires] Un volume. 18- [L’attentat à la personne et des crimes moindres] Un volume. 19- [Ikhtiyârât Ibn Taymiyya] d’Al-Bourhân ibn Al-Qayim, Reproduction fidèle à la source. 20- [Avis religieux relatif à l’affiliation à des équipes, des partis et des groupes islamiques] Un volume. 21- [Dictionnaires des interdictions orales] Un volume. 22- [Pas de nouveauté concernant les règles de la prière]. 23- [La classification des gens compte tenu de l’incertitude et de la certitude]. 24- [Prétention de savoir]. 25- [Le trésor du chercheur du savoir]. 26- ["Adâb Tâlib Al-Hadîth min Al-Jâmmi`" d’Al-Khatîb]. 27- [La protection du patrimoine]. 28- [Donner un nom au nouveau-né]. 29- [La conduite à avoir lors d’une conversation téléphonique]. 30- [La différence entre la longueur du vêtement et celle du pagne (Izâr)]. 31- [Les évocations (Dhikr) du début et de la fin de la journée]. 32- [Introduction détaillée à la doctrine de l’Imam Ahmad ibn Hanbal] Deux volumes. 33- ["Al-Balaghatou fî Fiqh Al-Imâm Ahmad ibn Hanbal"] d’Al-Fakhr ibn Taymiyya, Un volume, Reproduction fidèle à la source. 34- [Fatwa relative à l’âge minimum légal dans les affaires les plus importantes]. Deuxièmement - Dans le domaine du Hadith et de ses sciences: 35- [Déduction des règles relatives à l’authentification des Hadiths et les principes de base en matière de jugement de non-crédibilité et de crédibilité [des narrateurs]]. Trois volumes dont le premier a été imprimé. 36- [La connaissance des écrits et des journaux contemporains]. 37- [اLa narration des Hadiths non-authentiques]. 38- [L’effort soutenu permettant de reconnaître les Hadiths controuvés] par Al-Ghâzî, Vérification. [Les tomes relatifs aux Hadiths ] Un volume comportant cinq chapitres: (39- 43) 39- [Ce qu’on rapporte à propos des invocations qui se font après l’achèvement de la lecture du Noble Coran] Un chapitre. 40- [Les lettres de change] Un chapitre. 41- [La visite des tombes par les femmes] Un chapitre. 42- [Le fait de s’essuyer le visage avec les paumes des mains après les avoir levées lors de l’invocation] Un chapitre. 43- [La faiblesse du Hadith évoquant la position d’appui sur le dos des mains pour se relever de la prosternation lors de la prière] Un chapitre. Troisièmement - Dans le domaine de la culture générale: [An-Nadhâ’ir] Un volume comportant quatre mémoires: (44 - 47) 44- [Les célibataires parmi les savants et d’autres]. 45- [Le changement de doctrine]. 46- [Les autobiographies]. 47- [Les anecdotes dans le domaine de la science]. 48- [Le livre des généalogistes] Un volume. 49- [Ibn Al-Qayim : Sa vie, ses oeuvres et ses ressources] Un volume. [Les réponses] Un volume, Un volume comportant cinq mémoires : (50 - 54) 50- [Réponse à celui qui s’oppose]. 51- [La falsification des textes]. 52- [Le désaveu par les gens de la Sunna de la médisance des savants]. 53- [La croyance d’Ibn Abî Zayd Al-Qaïrawânî et sa mauvaise interprétation par certains contemporains]. 54- [Avertissement sur les Moukhtassarât d’As-Sâbounî dans le domaine de l’exégèse]. 55- [Les innovations (Bid`as) dans la lecture] Un mémoire. 56- [Les spécificités de l’Ile des Arabes]. 57- [Les nuages pluvieux sur les tombes des hanbalites]، 3 volumes, Cheikh Mohammed ibn `Abd-Allah ibn Hamîd, le Mufti des hanbalites en l’an 1296 H- qu’Allah lui fasse miséricorde- Une co-reproduction fidèle à la source. 58- [La facilitation de la voie de connaissance des savants hanbalites] Cheikh Saleh ibn `Abd-Al-`Azîz ibn `Othaymîn le Mecquois qu’Allah lui fasse miséricorde. Une reproduction fidèle à la source en deux volumes. 59- [Les savants hanbalites depuis l’Imam Ahmad jusqu’à ceux décédés durant le quinzième siècle de l’Hégire], Un volume inspiré de "Al-A`lâm" d’Az-Zarkalî. 60- [L’invocation de Qounoût]. 61- [Fath Allah Al-Hamîd Al-Majîd fî Charh Kitâb At-Tawhîd] Cheikh Hâmad ibn Mohammed Ach-Châriquî qu’Allah lui fasse miséricorde- Un volume. Reproduction fidèle à la source. 62- [La théorie de la confusion entre l’Islam et les autres religions]. 63- [Rapprochement du livre "Les Arts de la Recherche et du Débat"]. 64- [Le mont Ilâl à Arafat], une approche historique et religieuse. 65- [Description détaillée de la ville du Prophète (Salla Allah `Alaihi wa Sallam)]. 66- [Le Dôme du Rocher, études sur les dates de son édification et de sa restauration]. (1) Biographie rédigée par: `Abd-Allah ibn Bakr Abou Zayd, juge à Diwân Al-Madhâlîm (Bureau des doléances).
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