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Mahmud Ali Al-Banna est un récitateur du Coran, de nationalité égyptienne. Il est né le 17 décembre 1926 dans le village de Choubrabas au centre de Shebin Al Koum, gouvernorat du Munufiya au nord de l’Égypte. Mahmud Ali Al-Banna a appris le Coran à l’école coranique du village auprès du cheikh Moussa Almnattash et l’a accompli à l’âge de 11 ans. Ensuite, il part vers la ville de Tanta où il étudie les sciences religieuses (Al3ouloum Shar3iya) à la Mosquée Ahmadi et a reçu les lectures de la part de l’Imam Ibrahim bin Salam AL Maliki. En 1947, il devient le récitateur de l’association des jeunes musulmans et ouvrait toutes les célébrations de l’association. Une année plus tard, plusieurs célébrités présentes à l’assemblée de l’association telle que Maher Pacha, le Prince Abdelkrim EL Khatabi.... lui ont demandé de se joindre à la radio égyptienne. En 1948, Cheikh Al Banna rejoint la radio égyptienne, sa première récitation en direct fut en décembre de la même année, quelques années plus tard il devint parmi les récitateurs les plus connus d’Égypte. À la fin des années quarante, Cheikh Mahmud Ali EL Banna a été nommé récitateur de la mosquée « Ain EL Hayat », puis de la mosquée « Al Imam Rafi’i » à la fin des années cinquante. En 1959 il part à Tanta où il devient récitateur de la mosquée « Al Ahmadi » jusqu’en 1980 date à laquelle il commence à lire le Coran à la mosquée « Al Imam Al Hussein » jusqu’à sa mort. Cheikh Mahmud Ali Al Banna a laissé plusieurs enregistrements radiophoniques à la radio égyptienne dont le Coran (Muratal) qui l’a enregistré en 1967, le Coran (Mujawad), ainsi que plusieurs récitations du Coran (Muratal) enregistrées pour les radios de l’Arabie Saoudite et de l’Émirats arabes unis. Par ailleurs, Al Banna a visité plusieurs pays musulmans ainsi que de nombreux pays dans le monde. Il récita le Coran à La Mecque, Al Haram Al Qudsi, la mosquée des Omeyyades, la mosquée de Berlin en 1978... Cheikh Al Banna a été parmi les militants pour la création du comité des lecteurs et a été choisi en tant que vice-président lors de sa création en 1984. Cheikh Mahmud Ali Al Banna a rendu l’âme le 20 juillet 1985 (3 Dhu Al Qi3da 1405 de l’hégire) et fut inhumé au cimetière de la mosquée de son village natale de Shoubrabas. En 1990, le président égyptien a accordé à son nom le prix des Arts et des Sciences. Qu’Allah lui pardonne et lui fasse miséricorde !
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Son nom et sa généalogie Abou Bakr Jâbir Al-Jazâiri Son père et sa mère, tous deux algériens, sont issues tous deux de familles traditionalistes, connus pour leur piété, ou le Coran est appris et récité. Ses ancêtres se sont succédés dans la tâche de l’enseignement du Coran dans cette contrée. Sa naissance Il est né en 1921, au village de Lioua, à 40 km de Biskra, renommée la reine du sud algérien. Son enfance Il fut orphelin de père à moins d’un an et fut gardé par sa mère. Ses oncles maternels et paternels l’entretenaient. Il vécut dans un milieu où prévalait le sérieux. Loin des caprices et des distractions qu’il avait rarement connu. La garde des moutons et l’agriculture étaient ses occupations, tout en fréquentant l’école coranique du village. Ses études Dans la primeure de sa scolarité, le Cheikh apprit le Coran par cœur. Il le termina à l’age de neuf ans. Il y apprit aussi le poème d’ "Al-Ajroumiya", traitant de la grammaire arabe et le poème d’Ibn ’Achir traitant de la jurisprudence, selon le rite malékite. Il se rendit a Biskra et devint le disciple du cheikh Na’im Nâ’imi, l’un des savants de cette ville. Entre temps, un éminent cheikh el-mattougui, vint s’installer à Lioua, village natal de l’auteur. Celui-ci retourna chez lui pour assister au cours d’arabe littéraire du cheikh, à ses cours de jurisprudence, de hadiths, de logique et d’autre disciplines. Il joignit le disciple du cheikh tayeb Al-’Oqbi, l’un des amis du grand militant Abdel-Hamid Ben Badis. Tayeb Al-’Oqbi était très célèbre dans le domaine du savoir et de la rénovation des mœurs. Le cheikh Djazâiri lui tint compagnie de longues années pour apprendre de lui l’exégèse du Coran. Cette compagnie imprégna profondément notre cheikh. Il considérait ce professeur comme le plus illustre de ses professeurs. Il l’avait orienté vers la voie la plus sûre. Son enseignement et ses autres activités Encore jeune, il se rendit à la capitale (Alger) pour enseigner dans une de ses écoles coranique. Une ère nouvelle s’ouvrit a lui. Il prit part à plusieurs activités islamiques de ce temps, telles que "l’association d’appel à l’islam" et celle "des jeunes croyants". Il fit de la presse, fonda le journal "elDâ’i" et en prit la direction. Comme son nom l’indique, ce journal fut un appel à l’unification de tous les partis et associations algériens pour constituer une communauté musulmane, à l’arrêt du journal on lui confia la direction du journal "liwa" (l’étendard), porte parle de "la jeunesse des croyants". Il ne cesse d’y travailler jusqu’à son émigration à Médine en 1951, ou il poursuivit ses activités en qualité d’enseignant et d’étudiant. Il obtint la licence de la direction des juges à la Mecque, lui permettant d’enseigner à la mosquée de Médine, chaire qu’il occupe jusqu’à présent. Entre temps il s’inscrivit à l’Université religieuse de Riyad qui lui décerna le grade universitaire supérieur en 1960. Le cheikh enseigna aux écoles et universités de l’Arabie Saoudite, ainsi qu’à l’institut de Hadith de Médine, jusqu’au jour ou il fut définitivement nommé comme professeur à l’université islamique lors de sa création en 1960. Il n’a cessé d’y poursuivre ses cours jusqu’à sa retraite. Parallèlement aux cours libres tenus jusqu’à ce jour à la mosquée de Médine devant un public considérable. Signalons que le cheikh a accompli quatre fois, devant ce public, l’exégèse du Coran. Il répond sans cesse aux questions des pèlerins de passage ou aux visiteurs de la mosquée du Prophète (Salut et bénédiction su lui), leur réservant des séances quotidiennes et hebdomadaires, ne cessant d’être au service de l’enseignement et des étudiants depuis qu’il se trouve à Médine. Parmi ses livres - La plus aisée des exégèses [Aysar At-tafâsir] - Ce bien-aimé (biographie du Prophète) - La voie du musulman (jurisprudence musulmane) Qu’Allah le récompense et le préserve !
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Il est ‘Abder-Rahman ibn Nacir ibn Barrak ibn Ibrahim Al Barrak. Naissance : 1352 de l’Hegire, le cheikh a 74 ans en cette année de 1426. Le cheikh est aveugle depuis l’âge de 9 ans. Ses études : Il commença son étude très jeune, il apprit le Coran très tôt. Ensuite il étudia chez les grands érudits, parmi eux : - Cheykh ‘Abdel‘Aziz ibn ‘Abdallah ibn Baz. - Cheykh Mouhammad ibn Mouqbil Al Mouqbil. ( Il était juge d’Al Bakirya) - Cheykh ‘Abdel‘Aziz ibn ‘Abdallah As-Soubayl. - Cheykh Salih ibn Houssayn Al ‘Iraqi. Le Cheykh étudia chez ces érudits dans le Tawhid, la jurisprudence, le hadith, le tafsir, la langue arabe, etc. Il étudia aussi chez le cheykh Mouhammad Al Amin Ach-Chanqiti, cheykh ‘Abder-Razzaq ‘Afifi et d’autres… Mais le plus grand de ses maitres et celui duquel il s’est le plus imprégné reste le cheikh ‘Abdel‘Aziz ibn Baz chez qui il étudia plus de 50 ans, de 1369 jusqu’à la mort du cheikh en 1420, après quoi son maitre devint cheikh Al ‘Iraqi Il reçut la proposition d’être un membre du comité des grands savants et de délivrance de fatwa par cheikh Ibn Baz, mais il refusa, puis le successeur de cheikh Ibn Baz le cheikh ‘Abdel‘Aziz Al Cheykh, mufti actuel, lui réitéra la proposition, mais il refusa a nouveau, car il ne voulut pas abandonner son poste d’enseignant. Cependant, il lui est arrivé de donner des fatwas au comité lorsque les muftis descendaient dans la ville de Ta’if en été.
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Al-Hâfidh Zayn ud-Dîn ibn Rajab al-Hanbaly (736H-795H) Son nom, sa kounya, son surnom et sa filiation : Il était le noble Imaam, le hafidh, le critique, Zayn ud-Dîn ‘Abdur-Rahmaan bin Ahmad bin ‘Abdir Rahmaan bin al-Hassan bin Muhammad bin Abil-Barakaat Mas’oud as-Salamî al-Baghdadi (dû à son lieu de naissance). Al-Hanbali (dû à son madh-hab), Ad-Damichqui (dû à son lieu de résidence et à son lieu de mort). Sa kounya était Abul-Faradj et son surnom était Ibn Radjab qui était aussi le surnom de son grand-père qui est né durant ce mois (de Radjab). Sa naissance et son éducation : Il naquit à Baghdad en l’an 736H et fut élevé par une famille bien cultivée, fermement enracinée dans la science, la noblesse et la piété. Son père joua le plus grand rôle dans son éducation en le dirigeant vers le savoir bénéfique. Ses professeurs : Il apprit sa science des plus grands savants de la Oumma de son temps. À Damas, il étudia auprès de Ibn Qayyim al-Djawziyya, Zayn-oud-Dîn al-‘Iraaqi, Ibn an-Naqîb, Muhammad Isma’îl al-Khabaaz, Dawoud bin Ibrahim at-‘Ataar, Ibn Qaadi al-Djabal et Ahmad bin ‘Abdil-Haadi al-Hanbali. À la Mecque, il étudia chez al-Haafidh al-‘Alaa’î. En Égypte, il étudia auprès de Sadr-oud-Dîn Abul-Fath Al-Maydoumi et Naasir oud-Dîn bin al-Malouk. Les postes auxquels il fut nommé : Ibn Radjab se dévoua à la science et passa tout son temps dans les recherches, l’écriture, l’enseignement, (et) les travaux dans le domaine de la science et il délivrait des avis juridiques (fataawa). On lui attribua un poste d’enseignant à l’école Hanbalite en 719H mais on le remplaça. Du vivant de son père, il reçut la charge du cercle d’études (halaqa) le mardi dans la Mosquée Centrale de Banou Oumayyah. Ceci fut après la mort de Ibn Qaadi al-Djabal et l’année 771H, qu’Allaah lui fasse miséricorde. Ses étudiants : Les étudiants de la science se tournèrent vers Al-Haafidh ibn Radjab (rahimahoullah) pour étudier auprès de lui, pour profiter de ses connaissances et pour entendre ses narrations (ahadith). Ceci car il était l’Imaam de la science de hadith ; que ce soit dans le rapport des narrations que dans leur étude. Ceci est du au fait qu’il y consacra une si grande partie de son temps, qu’il ne fut connu que par [sa science] des ahadith ; par conséquent on ne pouvait trouver personne de plus compétent que lui (à cette époque). Parmi ses étudiants les plus célèbres : (1) Aboul-‘Abbaas Ahmad bin Abi Bakr bin ‘Ali al-Hanbali, connu sous le nom de Ibn ar-Risaam [mort en 884H], (2) Aboul-Fadl Ahmad bin Nasr bin Ahmad, le Mufti de l’Égypte [mort en 844H], (3) Dawoud bin Soulaymaan al-Mawsili [mort en 844H], (4) ‘Abdur-Rahmaan bin Ahmad bin Muhammad al-Muqri, (5) Zayn-ud-Dîn ‘Abdur-Rahmaan bin Sulaymaan bin Abil-Karam, connu sous le nom de Abu Shi’ar, (6) Abu Dharr az-Zarkachi [mort en 846H], (7) le juge ‘Alaa-ud-Dîn Ibn al-Lahaam al-Ba’ali [mort en 803H], et (8) Ahmad bin Sayf-id-Dîn al-Hamawi. Les savants qui ont fait ses éloges : [1] Ibn Qaadi Chuhbah a dit de lui dans sa biographie comme mentionné dans Al-Djawar oul-Mounaddad (p.48) : « Il a lu et est devenu compétant dans de nombreux domaines de la science. Il étudia les questions du madh-hab (Hanbalite) jusqu’à ce qu’il puisse les maîtriser. Il se dévoua dans l’occupation de la science des textes, des erreurs et des significations des ahadith. Il s’isolait pour la rédaction. » Ibn Hadjar a dit de lui dans Inbaa ul-Ghamr : « Il était très compétent dans les disciplines scientifiques du hadith, en matière de noms des rapporteurs, leurs biographies, leur chaîne de transmission et la conscience de leur signification. » Ibraaheem bin Muhammad Ibn Muflih : « Il était le Cheikh, le grand savant, le Haafidh, celui qui s’est détaché de la vie d’ici bas. Il était le Cheikh du madh-hab Hanbali et il écrivit plusieurs livres intéressants. » Son dogme : Ibn Radjab (rahimahoullah) suivait la voie des pieux prédécesseurs (minhadj des Salaf) dans sa croyance (Imaan) et dans la manière d’acquérir le savoir. Il (l’a) [la voie] soutenue et défendue contre les faux arguments de ses opposants. Ses livres en regorgent d’exemples. De plus, il a écrit des traités qui abordaient spécifiquement ce sujet tel que son livre « Bayaan Fadlou ‘Ilm-is-Salaf ‘alaal-Khalaf » . Cependant, on peut trouver des traces de Soufisme dans ses livres, qu’Allaah le protège de l’égarement vers cette voie dangereuse, dû à ce qu’Allaah lui a donné comme vastes connaissances dans le domaine des narrations (ahadith) une méthodologie salafiyyah claire. Son madh-hab (en ce qui concerne les sciences auxiliaires) : En jurisprudence (fiqh), il (rahimahoullah) suivait le madh-hab du vénérable Imaam, Ahmad bin Hanbal, qu’Allaah lui fasse miséricorde. Il est considéré comme étant l’un des plus grands savants de ce madh-hab ainsi qu’un des plus compétents. Son livre : « Al-Qawaa’id al-Koubraa fil-Fourou’ » le prouve bien, car il s’agit de son œuvre la plus importante dans le domaine de fiqh. Ce dernier démontre ses grandes connaissances à propos des détails complexes dans le Fiqh. Ceci au point que Al-Haafidh ibn Hadjar a dit dans son livre ad-Durar : « Il fit un excellent travail sur ce sujet. » De plus, Ibn Qaadi Chuhbah et Ibn Muflih ont dit : « Ceci indique sa connaissance complète du madh-hab (hanbalite). » Comme cité dans Kachf-udh-Dhounoun : « C’est un livre qui fait partie des merveilles de ce temps, de telle sorte qu’il chercha à donner beaucoup d’explications dans ce dernier. Il y a des gens qui prétendent qu’il trouva les principes dispersés d’Ibn Taymiyya et les rassembla, mais cela est faux. Plutôt, il, qu’Allaah lui fasse miséricorde, était au dessus de cela. Ceci fut ce qu’il cita. » Al-Haafidh ibn Radjab, qu’Allaah lui fasse miséricorde, était profondément attaché aux travaux d’Ibn Taymiyya, car il délivrait des avis juridiques en conformité avec ceux-ci et il se référait constamment à ses livres. Ceci est dû au fait qu’il étudia auprès de Ibn Qayyim al-Djawziyyah, l’étudiant le plus remarquable d’Ibn Taymiyya, qu’Allaah leur fasse tous miséricorde. Cependant, malgré cela, il (rahimahoullah) ne suivait pas son professeur d’une manière aveugle ou fanatique. Au contraire, il authentifiait, vérifiait et s’attachait aux preuves. Ses travaux écrits : Al-Haafidh Ibn Radjab, qu’Allaah lui fasse miséricorde, était considéré comme étant l’un des savants les plus connus et compétents en rédaction de son temps. Ainsi, il avait un grand nombre de travaux intéressants dans les domaines du tafsir, hadith, fiqh, de l’histoire, et raqaa’iq (œuvres qui adoucissent le cœur). Parmi ses livres il y a : Dans le domaine de tafsir et de la science coranique : 1. Tafsir Sourah al-Ikhlaas 2. Tafsir Sourah al-Faatihah 3. Tafsir Sourah an-Nasr 4. I’raab al-Basmalah 5. Al-Istighnaa bil-Qour’aan Dans le domaine du hadith et de ses sciences : 1. Charh Jaami’ at-Tirmidhee 2. Charh ‘Ilal at-Tirmidhee 3. Fat-h oul Baaree bi-Charh Sahîh al-Boukhaari 4. Jaami’-oul-‘Ouloum wal Hikam fi Charh Khamsina Hadithan min Jawaami’-il-Kalim , qui est la source de ce livre. Il avait aussi une collection de traités qui expliquent des ahadith individuellement, tels que : 5. Sharh Hadith : Maa Dhi’baani Jaa’iaan oursilaa fî Ghanam ... [La soif de la richesse et du prestige] 6. Ikhtiyaar al-Awlaa fî Sharh Hadith Ikhtisaam al-Mala al-A’alaa 7. Nour-oul-Iqtibaas fî Mishkaat Wasiyyat-in-Nabee Libn ‘Abbaas 8. Ghayaat-un-Nafa’ fî Charh Hadith Tamthil-ul-Mu’min bi-Khaamat-iz-Zara’ 9. Kashf-oul-Kourbah fî Wasfi Haali Ahlil-Ghourbah [Le soulagement du chagrin dans la description de la condition des étrangers] Et plusieurs autres. Dans le domaine du fiqh : 1. Al-Istikhraaj fee Ahkaam-il-Kharaaj 2. Al-Qawaa’id-ul-Fiqhiyyah 3. Kitaab Ahkaam-ul-Khawaateem wa maa yata’alaqu bihaa Dans le domaine des biographies et des évenements historiques : 1. Adh-Dhayl ‘alaa Tabaqaat-il-Hanaabilah 2. Mukhtasar Seerah ‘Umar bin ‘Abdil-‘Azeez 3. Seerah ‘Abdul-Malik bin ‘Umar bin ‘Abdil-‘Azeez Dans le domaine des raqaa’iq et des exhortations : 1. Lataa’if-ul-Ma’aarif feemaa Li-Mawaasim-il-‘Aam min al-Wadhaa’if 2. At-Takhweef min an-Naar wat-Ta’reef bi-Haali Daar-il-Bawaar 3. Al-Farq bayna an-Nasehah wat-Ta’yeer [La différence entre conseiller et condamner] 4. Ahwaal Ahlil-Qoubour Sa fin : Al-Haafidh ibn Radjab, qu’Allaah lui fasse miséricorde, décéda un lundi soir, le quatrième jour du mois de Ramadan, en l’an 795H. Il mourut à Damas dans un territoire qui était appelé al-Houmayriyyah, dans un jardin qu’il louait. Sa prière funéraire fut accomplie le lendemain et il fut enterré dans le cimetière Baab as-Saghîr, à côté du Cheikh Aboul-Faradj ach-Chiraazî. [1] Note du traducteur d’al-Ibaanah : Cette partie fut ajoutée à la traduction pour un bienfait supplémentaire. Post-Scriptum : Auteur : Salîm Al-Hilaali Source : « Iqaadh-oul-Himam » un résumé de « Jaami oul-Ouloum wal Hikam » (p. 8-11). Produit par : Al-Ibaanah.com Traduit par l’équipe de Sounna.com
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Abdel-Malik Abou Adam Al-faransi est licencié de la faculté du hadith de l’Université de Médine et prêcheur au centre de prêche et d’orientation religieuse de la ville de Joubail en Arabie Saoudite. Ce centre est supervisé par le ministère des affaires religieuses du Royaume d’Arabie Saoudite. Qu’Allah le préserve !
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