- فرنسي
- فرنسي
Ibn Al-Jawzî Son nom et ses origines Il est l’imam, l’éminent savant, shaykh Al-Islâm, la fierté de l’Irak, Jamâl Ad-Dîn Abû Al-Faraj ‘Abd Ar-Rahmân Ibn ‘Alî Ibn Muhammad, dont la lignée arrive à Al-Qâsim Ibn Muhammad, le fils de Abû Bakr le Véridique, le hanbalite, le sermonnaire, l’auteur d’innombrables ouvrages. On a divergé sur l’origine de son nom Ibn Al-Jawzî, mais tous les biographes sont d’accord sur le fait que cela fait référence à l’arbre connu qu’est le noyer (Al-Jawzah), qu’il y en ait eu un chez lui ou chez ses aïeuls, et qu’on leur ait ensuite attribué ce surnom, ou que l’un d’eux ait habité au port de Al-Jawz à Bassora, ou encore qu’ils aient travaillé dans la culture et le commerce de noix. Certains savants ont parfois mentionné qu’il se nommait ‘Abd Ar-Rahmân Ibn ‘Alî As-Saffâr, car sa famille travaillait dans le commerce de cuivre, ainsi on l’a surnommé en lien avec le laiton (As-Sufr) qui est un mélange de cuivre et d’aluminium qui possède l’éclat de l’or. Sa naissance et son éducation L’imam Ibn Al-Jawzî est né entre l’an 508 et 510 (1112-1114G) dans une famille fortunée de Bagdad inconnue avant cela pour sa noblesse ou sa science, ce qu’il dit lui-même en ce livre : « J’ai médité sur ma personne vis-à-vis de ma famille qui a passé sa vie à chercher les biens de ce monde… » Son père décéda alors qu’il n’avait que trois ans, ainsi qu’il le rappelle : « Mon père mourut alors que j’étais un jeune enfant, et ma mère ne s’est pas occupé de moi. » Mais son Seigneur l’a choisi et confié à sa tante maternelle qui était une femme pieuse et qui s’est occupée de lui, l’a éduqué et l’emmena, lorsqu’il eut grandi, au grand savant du hadith Muhammad Ibn Nâsir As-Sulâmî afin qu’il apprenne auprès de lui, à partir de l’an 516H. Ibn Al-Jawzî n’a pas voyagé pour acquérir la science, et il est excusé en cela car à cette époque, Bagdad était la capitale du monde musulman, le lieu de résidence du Calife abbasside, et le point de convergence des savants d’Orient et d’Occident. Les gens y venaient de tout horizon, il n’est donc pas étonnant de compter parmi les enseignants de Ibn Al-Jawzî – on en compte plus de quatre-vingt – un grand nombre qui ne sont pas d’Irak. Ibn Al-Jawzî consacra son enfance et sa jeunesse à la recherche de la science, et on lui fit aimer la science sous tous ses aspects, ainsi il but à grandes gorgées de tous les aspects de la science, avec une application sans défaillance, une détermination sans lassitude, un caractère agile et une âme désireuse de parvenir aux sommets depuis son plus jeune âge. Ibn Kathîr dit dans « Al-Bidâyah wa-n-Nihâyah » : « C’était un enfant pieux, replié sur lui-même, ne fréquentant personne, ne consommant pas de ce qui était douteux, et ne sortant de chez lui que pour la prière du vendredi, il ne jouait pas avec les enfants. » Il dit de lui-même concernant ses efforts dans la recherche de la science : « Dans la douceur de ma recherche de la science, j’ai rencontré des difficultés qui m’étaient plus agréable que le miel, en raison de ce que je recherchais et espérais. Dans ma jeunesse, je prenais des galettes de pain sec, et je partais apprendre le hadith. Je m’asseyais au bord du fleuve cÎsâ, et je ne pouvais manger ces galettes qu’avec de l’eau, ainsi je buvais à chaque bouchée, mais je ne voyais que la douceur de l’apprentissage de la science. » Et il demeura ainsi jusqu’à la fin de ses jours. Il portait une grande attention à la préservation de son temps et n’en perdait rien en ce qui n’était d’aucune utilité. Il détestait se mêler aux oisifs et il surveillait les visites qu’il leur rendait pour des travaux manuels et mécaniques strictement nécessaires et qui ne demandaient pas d’activité mentale et de concentration. Il n’est pas étonnant après cela de constater que cet imam présente des travaux conséquents dans tous les domaines de la science religieuse : les sciences de la récitation, de l’exégèse, du hadith, du Fiqh, de l’histoire, de la prédication, des caractères, de la langue arabe, de la poésie, de la médecine, de l’astronomie, et bien d’autres sciences encore desquelles ont témoigné les savants. L’imam Ad-Dhahabî a dit : « C’était un océan dans la science de l’exégèse, un éminent historien, un spécialiste des sciences du hadith, un fin connaisseur des questions qui font unanimité et de celles qui soulèvent des divergences, il a produit de bon apports à la médecine, il était ingénieux, perspicace, intelligent, doté d’étonnantes capacités de mémorisation, de composition, et d’écriture. » Ibn Al-Jawzî le sermonnaire Si l’imam Ibn Al-Jawzî s’est intéressé à tous les domaines des sciences religieuses, nul doute qu’il est le premier concernant l’art du sermon et de l’exhortation. L’imam Ad-Dhahabî a dit : « On lui a fait aimer le sermon alors qu’il n’était qu’un enfant. Il a donc commencé à exhorter les gens, puis on ne cessa de se presser autour de lui, et sa célébrité ne cessa de grandir jusqu’à sa mort, qu’Allah lui fasse miséricorde et lui pardonne. » Il dit avant cela : « Il était le meneur inégalé dans le rappel, il déclamait spontanément des vers limpides et une prose magistrale, prolixe et étonnante, en rime et en accord. Il n’eut aucun semblable, ni avant ni après lui, il est le porteur de l’étendard de l’exhortation et l’imam de cet art, d’une manière agréable, d’une belle voix, et d’un impact fort sur les âmes. » Ibn Kathîr dit de lui : « Il était unique dans l’exhortation, sans précédent ni égal, dans son style, son éloquence, la suavité de ses propos, l’élégance de leur enchâssement, l’efficacité de son exhortation, son immersion dans les sens profonds, et son exposé clair des choses étranges en des termes concis, facilement compréhensibles, car il réunissait des sens nombreux en peu de mots. Assistaient à ses exhortations califes, ministres, dignitaires, savants, pauvres, issus de toutes les catégories des Fils d’Adam. On dénombrait au moins dix mille personnes dans ses assises, et on a parfois pu en compter cent mille [1], voire plus. Il déclamait spontanément prose et poésie, et en un mot il était un enseignant unique dans l’art de l’exhortation et bien d’autres. » Son école de jurisprudence Ibn Al-Jawzî étudia le rite hanbalite, et il assimila ses fondements, subdivisions et subtilités. Il le considéra comme son école de jurisprudence et écrivit à ce sujet. Il respectait énormément l’imam Ahmad et l’aimait profondément, il s’étonnait de son école, de sa voie et de sa vie. Mais en raison de sa grande science, il ne suivait pas aveuglément l’école hanbalite, mais il était un adepte de la preuve, de son suivi et de l’appel à cette voie. Il a blâmé en de nombreux endroits de son livre le suivi aveugle et ses adeptes, et il les a décrits par la bassesse, l’aveuglement, l’ignorance et la trivialité, et il a recommandé aux étudiants de ne pas étudier chez eux et de ne pas imiter aveuglément une personne révérée, quelle qu’elle soit. Plus encore, il les a appelés à l’effort d’interprétation (Al-Ijtihâd) et les y a encouragés. Il a divergé de son imam (Ahmad) sur de nombreuses questions, et rien n’indique qu’il se soit attaché exagérément au rite hanbalite et qu’il ait blâmé les autres rites, au contraire il respectait les trois imams et leur science, et il a même écrit un ouvrage sur les mérites de l’imam As-Shâfi’î. La croyance de Ibn Al-Jawzî En raison de ce qui a précédé de son attachement à l’école de l’imam Ahmad Ibn Hanbal, ses apports dans les sciences du Coran, du hadith et des autres sciences religieuses, c’est tout naturellement que la croyance de Ibn Al-Jawzî fut celle de son imam, Ahmad Ibn Hanbal, ou la croyance des pieux prédécesseurs, les adeptes du hadith, de la Sunna et du consensus (Ahl As-Sunnah wa-l-Jamâ’ah). Louange à Allah, il en fut ainsi sur les questions de la foi, de la prédestination et du décret divin, et d’autres points qui font l’unanimité parmi les adeptes de la Sunna. Malheureusement, concernant les Noms et Attributs d’Allah, il a emprunté une voie qui lui était propre et en laquelle il n’a pas seulement divergé de la voie de son imam, mais de l’ensemble des écoles dans la croyance de son époque. Il s’est même contredit grandement à ce sujet, si bien qu’on a du mal à définir sa voie. Shaykh Al-Islâm Ibn Taymiyyah a dit : « Abû Al-Faraj, lui-même, se contredit à ce sujet, ne restant fermement ni sur la négation ni sur l’affirmation. Il a affirmé en des proses et poésies de nombreux Attributs qu’il nie en cet ouvrage (Daf’ Shubhah At-Tashbih), et il est semblable en cela à nombre de ceux qui se sont plongés dans cette réflexion qui parfois affirment, et parfois nient des Attributs, comme Abû Al-Wafâ’ Ibn ‘Aqîl et Abû Hâmid Al-Ghazâlî. » [Majmû’ Al-Fatâwâ (4/169)] L’imam Ad-Dhahabî mentionna ses erreurs avec douceur et dit : « Qu’Allah lui fasse miséricorde et lui pardonne. Si seulement il ne s’était pas plongé dans l’interprétation fausse des Noms et Attributs d’Allah (At-Ta’wîl) et n’avait pas divergé de son imam sur cette question. » Il lui est même arrivé d’avoir des propos très durs vis-à-vis de certains savants de la Sunna. Nous avons mentionné cela afin que celui qui ne lit que quelques passages ne soit pas trompé sur cette question dans sa lecture de l’ouvrage ; mais aussi afin que ceux qui cherchent à répandre le mal n’utilisent pas cela comme un argument à leur avantage, et cela n’est pas un argument pour eux, s’ils savaient. Car Ibn Al-Jawzî a maintes fois plus critiqué et réfuté les innovateurs que les savants de la Sunna, et ces mêmes innovateurs eux-mêmes n’adhèrent pas à la voie de Ibn Al-Jawzî. Il faut garder à l’esprit que la chair des savants est empoisonnée, qu’il faut craindre Allah et ne pas utiliser cela pour blâmer ou rabaisser cet imam, car cela n’est aucunement la voie des gens de science, mais celle de la populace et de la vermine. Ibn Al-Jawzî est un Mujtahid et qui peut faire des erreurs, et ne pas faire d’erreur n’est pas une condition pour être un savant, ainsi il faut le respecter, le considérer et demander pardon pour lui. Son apparence, sa rectitude et son ascétisme Son petit-fils rapporte que son grand-père terminait la récitation du Coran chaque semaine, et ne sortait de chez lui que pour la mosquée et les assises de science. Il dit : « C’était un ascète, se contentant de peu de biens de ce bas monde […] il n’a jamais plaisanté avec quelqu’un ni même joué avec un enfant ou consommé d’une chose dont il n’était pas certain de la licéité. » C’était un homme pieux, dévot, ascète, cheminant sur la voie des pieux prédécesseurs, ne cherchant pas à obtenir ce qu’il ne possédait pas. Il accordait son droit à son âme, sa famille, son corps, sans que cela ne le fasse transgresser les limites de la modération. Ses écrits Les écrits de Ibn Al-Jawzî sont un océan sans rivage. Ad-Dhahabî a dit : « Avant sa mort, on a trouvé, écrits de sa main, plus de deux cent cinquante ouvrages. » Son petit-fils dit également : « J’ai entendu mon grand-père dire du haut de la chaire : Avec ces deux doigts, j’ai écrit plus de deux mille volumes. » Al-Muwaffaq ‘Abd Al-Latîf a dit : « Il ne perdait rien de son temps, et il écrivait quatre livrets par jour. » Ad-Dhahabî a dit : « Je ne connais personne qui ait écrit autant que lui » ensuite il mentionna plus de deux cent de ses écrits et dit : « et d’autres choses encore que j’ai délaissées ou que je n’ai pas vues ! » Son épreuve et son décès L’imam Ibn Al-Jawzî n’aimait pas shaykh ‘Abd Al-Qâdir Al-Jaylî, n’était pas équitable avec lui et ne lui accordait pas le rang qui était le sien. Ar-Rukn, le fils de ‘Abd Al-Qâdir, était un homme mauvais, à la croyance corrompue, et philosophe, ses livres furent brûlés sur indication de Ibn Al-Jawzî et on lui donna leur école. Ar-Rukn lui en garda rancœur, et lorsque son ami rafidite Ibn Al-Qassâb fut nommé ministre, il l’incita contre Ibn Al-Jawzî. Ils le calomnièrent auprès du Calife An-Nâsir, et Ar-Rukn vint chez lui, l’insulta, le rabaissa, l’empoigna, obstrua sa maison, dispersa sa famille, alors que Ibn Al-Jawzî était enchaîné sans pantalon, puis il l’emmena sur un char à Wâsit, et si ce n’était la grâce d’Allah, ils l’auraient tué. Il fut emprisonné, s’occupant de sa personne, cuisinant, lavant ses affaires et puisant l’eau du puits. Il y resta cinq ans sans pouvoir se rendre au hammam, jusqu’à ce que son fils Yûsuf grandisse et ne se mette lui aussi à exhorter, jusqu’à parvenir à la mère du Calife qui intercéda en sa faveur, et ainsi il fut libéré. À son retour à Bagdad, il fut révéré et respecté jusqu’à sa mort qui survint après une courte maladie. Il fut enterré entre les prières du Maghrib et du ‘Ishâ, la nuit du vendredi 13 du mois de Ramadan 597H (1201G). Les gens furent très nombreux à participer à ses funérailles. Qu’Allah lui pardonne, lui fasse miséricorde et le place parmi ceux qui hériteront des jardins des délices. [1] L’imam Ad-Dhahabî commenta cela en disant : « Nul doute que cela ne s’est pas produit, et si cela avait été le cas, ils n’auraient pu l’entendre, et aucun lieu n’aurait permis de les rassembler. » Néanmoins on peut facilement imaginer le nombre impressionnant de personnes qui assistait à ses exhortations si on considère les lieux à ciel ouvert où cela se passait, comme Bâb Badr. Cette courte biographie de l’imam Ibn Al-Jawzî figure en introduction des « Pensées Précieuses », une des traductions en langue française de son célèbre ouvrage « Sayd Al-Khâtir ». Traduit et publié par les Salafis de l’Est
- فرنسي
Le cheikh ibn AL QASSEEM du nejd de son com complet*: عبد الرحمن بن محمد بن عبد الله بن عبد الرحمن بن محمد بن قاسم من آل عاصم من قبيلة*قحطان*القبيلة العربية المشهورة Abderahmen ben mohamed ben abdellah ben abderrahmen ben mohamed ibn el qasseem de la famille ’assim de la tribu arabe el QAHTANI Le cheikh est née en 1895 à Riyad la capitale de l’Arabie saoudite dans la région du NEJD Il a été éduqué dans une famille religieuse et a appris de sa mère le coran très jeune. Il étudia auprès de nombreux savants a RIAD parmis eux*: 1 Cheikh abdel lattif el cheikh 2 Cheikh abdellah el ’ounqari 3 Cheikh mohamed ben mahmoud 4 Cheikh soulaymen ben samhan 5 Cheikh mohamed ben fariss Il etudia toutes les sciences donc le tawhid le hadith le coran la langue arabe etc … Il suffit comme tezkya pour ce cheikh le nombre des savants contemporains qui fut ses élèves comme*: 1 cheikh ibn baz 2 Cheikh abdellah el jibreen 3 cheikh mohamed ben ibrahim el cheikh (professeur de cheikh ibn baz et moufti avant cheikh ibn baz) 4 Cheikh el ’oqla el chou’aybi 5 cheikh ben faryan 6 Cheikh sa’di 7 Cheikh el othaymeen et bien d’autres Les ouvrages du cheikh sont très nombreux et sont enseignés par les grands savants et sont enseignés dans l’université Imam Mohamed ben saoud de Riyad Le cheikh est connu pour avoir un enseignement très proche de celui de cheikh el islam ibn taymya et il étudia et enseigna le majmou’ fatawa de ibn taymya de 37 volumes plusieurs fois. Le cheikh apprend par cœur la pluparts des livres de cheikh el islam ibn taymya et les livres de cheikh el islam el moujaddid (revivificateur) mohamed ibn abdel wahhab Le cheikh a fait de nombreux voyages dont en Égypte, au Liban, en Syrie etc … Le cheikh était de l’école juridique hambalite dans laquelle il excellait et il écrivit une explication sur l’une des meilleurs explications du livre zad el mousta9na’ (rawd el mourbi’) Le cheikh eut une si grande emprunte dans le prêche et la science islamique dans le NEJD (qasseem et riad) qu’il fut nommée le revivificateur du siècle par de nombreux savants. Qu’Allah lui fasse miséricorde !
- فرنسي
Ex-Imam de la sainte mosquée de Médine et imam de la Sainte Mosquée de La Mecque. Brève biographie : Maher Al-Muayqili de son nom complet Maher Ibn Hamad Ibn Mouaqil Al Muaiqili Al Balwi est un réciteur et imam saoudien, il est né le 18 chawwal 1388 H à la Médine. Ayant grandi à Médine, il y a obtenu le diplôme de professeur en mathématiques de la faculté des professeurs, avant d’être affecté à La Mecque à l’école ’Balat achouhada’. Ensuite, il est devenu conseiller d’orientation des étudiants à l’école du prince Abd Al Majid’ à La Mecque. En 1425, Maher Al-Mouayqili décroche un master en Chariâ de la faculté ’Umm Al Qura’. Conférencier à la faculté de Chariâ et études islamiques de La Mecque, il a été imam à la mosquée ’Abd Arrahmane Assaâdi’ à La Mecque. Il a aussi été imam à la mosquée du noble prophète (1426 H-1427 H) et est imam de la grande mosquée sacrée de La Mecque ”Al Haram Al Maki”. Qu’Allah le préserve ! Maher Al Muaiqily a enregistré des cassettes regroupant ses récitations coraniques. En outre, de nombreuses chaines télévisées et radiophoniques ainsi que des sites sur internet diffusent sa psalmodie. Maher Al Mueaqly est marié et père de quatre enfants (deux filles et deux garçons) qui l’a inscrits aux écoles d’apprentissage du Saint Coran. Autre biographie : Sheikh Maher Al Muayqili est un imam et récitateur à la Mosquée Sacrée de la Mecque. Cet imam à la voix en or a eu un parcours atypique dans le sens où il a été professeur de mathématiques puis conseiller pédagogique avant de devenir le récitateur de Coran que l’on connaît aujourd’hui. Plongeons-nous brièvement dans la vie de cet imam remarquable macha Allah… Sa naissance et ses études Son nom complet est Maher ibn Hamed ibn Mou’aqil Al Mou’aqli Al Balawi. Il est originaire du nord de l’Arabie Soudite, plus précisément d’une province appelée Al Wajh. Son père a immigré à Médine. C’est dans cette dernière que Maher Al Mou’aqli est né, le 18 Chawal 1388 (Hégire). Il a grandi à côté de la mosquée du Prophète (‘alayhi salat wa salam) et a appris le Saint Coran dans son intégralité à Médine. Maher Al Mou’aqli a effectué ses études à Médine. Il intégra l’université des professeurs et se spécialisa dans les mathématiques. Par la suite, il partit à la Mecque et exerça en tant que professeur dans une école, puis il fut conseiller pédagogique. En 1412, il entra à l’université d’Oum Al Qura à la Mecque où il obtenu sa licence. En 1425, il eu son Master en fiqh. L’intitulé de son Master est « Les problématiques d’Ahmed ibn Hanbal ». Il décrocha ce Master avec la mention excellent macha Allah. À la suite de cela, il a obtenu son doctorat en 1432 dans la même université. Sa carrière en tant qu’imam Maher Al Mou’aqli était imam à la mosquée ‘Abd Arrahmane Assa’di à la Mecque. Il fut également professeur dans cette mosquée. C’est en 1426 qu’il devient imam à Médine pendant le mois de Ramadan et ce, durant deux années. Puis, en 1428, durant le mois de Rajab, il fut officiellement imam à la Mosquée Sacrée de la Mecque. Parallèlement à cela, il est maître de conférences. Il assure donc des assemblées à l’université d’Oum Al Qura dans le département de la chari’a, sa spécialité étant la justice. Sa da’wa à travers le monde Cheikh Maher Al Mu’aqli s’applique afin de faire da’wa dans son pays ainsi qu’à l’étranger. En effet, il effectue de nombreuses visites à l’extérieur de l’Arabie Saoudite dans le but d’inviter à l’Islam. Il tente de faire connaître notre belle religion à ceux qui ne la connaissent pas. De plus, il est souvent appelé afin d’inaugurer des mosquées dans le monde Arabe. De même, il met en place des activités à la Mecque pour faire da’wa, et plus particulièrement pour sensibiliser la jeunesse musulmane à l’Islam. Il est lui même père de quatre enfants qui sont inscrits dans des écoles d’apprentissage du Saint Coran. Une voix touchante et un bon comportement Lorsque l’on entend la voix de Cheikh Maher Al Mu’aqli, on peut ressentir la chaleur de l’endroit où il se trouve car sa récitation nous emporte. De même, sa récitation est apaisée et apaisante macha Allah. Lorsqu’il récite, il est possible de ressentir l’histoire du Coran à travers sa voix ainsi qu’une sagesse dont il s’est paré. Par ailleurs, Cheikh Maher Al Mu’aqli est tellement touché par le Coran et y est tellement attaché qu’il s’efforce de l’appliquer dans sa vie quotidienne. Il tend à ce que son comportement soit celui du Coran. Ainsi, ceux qui l’aperçoivent avant la prière d’al Fajr, voient un visage illuminé sur lequel s’inscrit un léger sourire, macha Allah, jouant avec un siwak à la bouche. Il se conforme ainsi à la Sunna du Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam). Qu’Allah préserve Cheikh Al Mu’ayqli dans le droit chemin. Puisse-t-Il lui accorder l’entrée dans le plus beau Jardin. Par Oum Ayoub
- فرنسي
- فرنسي
Grand récitateur de Coran et ancien Imam de la Mosquée du Prophète à Médine. Aujourd’hui, imam à la mosquée de Qouba à Médine. Brève biographie : Muhammad Ayyub de son nom complet Muhammad Ayyub Ibn Muhammad Yusuf Ibn Sulayman Umar est un réciteur et imam saoudien d’origine birmane. Il est né en 1327 H à La Mecque. Ayant grandi à La Mecque, Muhammad Ayyub a appris le Saint Coran à la mosquée ’Ibn Laden’ où il a obtenu son attestation de réussite en 1386 H. Ensuite, il a poursuivi ses études à l’institut scientifique de Médine où il a décroché son diplôme en 1392 H. De l’université islamique, Muhammad Ayyub a obtenu sa licence en 1396 H, puis son master et enfin son doctorat en 1408 H. En outre, il a fait des études islamiques avec plusieurs savants (Cheikh) à Médine comme : Abdulaziz Mohamed Uthman, At-Tantawi, Al-Shanqiti, Al-Umari... Entre 1397 H et 1398 H, Muhammad Ayyuba travaillé en tant qu’assistant à la faculté du Coran, puis il lui a été confié de surveiller le service des examens durant 10 ans. Par la suite, il est devenu membre de la commission de l’enseignement et du comité scientifique du ’Roi fahd’ pour l’impression du Saint Coran. Muhammad Ayyub a été nommé imam de plusieurs mosquées de Médine, notamment : la mosquée du prophète en 1410 H, la mosquée Qoubaâ où il a été chargé de diriger Tarawih, la mosquée Al Anabiya entre l’année 1394 H et 1403 H, et la mosquée Abdullah Al Husayni en 1403 H. Muhammad Ayyub présente et participe à de nombreuses conférences et éditions concernant la religion islamique dans de nombreux pays islamiques (Pakistan, Sénégal, Turquie...). Sa psalmodie est diffusée sur des chaines télévisées et stations radiophoniques ainsi que dans des sites internet. Par ailleurs, des cassettes de ses récitations coraniques ont été enregistrées et livrées au grand public. Qu’Allah le préserve !
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
Grand savant de l’Islam, Mort en 1422. Savant du Hadith et pilier de la daawa salafiya au yemen. Qu’Allah lui fasse miséricorde ! Son site : http://www.muqbel.net/
- فرنسي
Savant et prédicateur égyptien. Son site officiel : http://www.yaqob.com
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي