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أعلام وشخصيات

عدد العناصر: 1678

  • فرنسي

    مترجم, مؤلف, مُراجع, عدد العناصر : 143

    Prédicateur en langue perse au ministère des affaires religieuses du Royaume d’Arabie Saoudite

  • فرنسي

    مؤلف, مُراجع, عدد العناصر : 159

    Savant syrien célèbre pour ses écrits simples et concis. Il fut professeur à La Maison du Hadith de La Mecque. Il mourut le 8 octobre 2010 à 87 ans qu’Allah lui fasse miséricorde.

  • فرنسي

    مؤلف, قارئ, عدد العناصر : 157

    Abdurrahman Ibn Abdilaziz As-Sudays est le premier imam de la Grande mosquée de la ville sainte La Mecque. C’est un grand réciteur du saint Coran de renommée mondiale. D’origine du la tribu Anazi, Abdurrahman As-Sudays est né en Arabie Saoudite. Abdurrahman As-Sudays a pu mémoriser le Coran alors qu’il n’avait que 12 ans. Il a décroché son diplôme en 1979 de l’institution scientifique de Riyadh avec la mention ’Excellent’. En 1983, Abdurrahman As-Sudays a entamé ses études à l’université de l’imam Muhammad ben Saud de Riyadh où il a obtenu un diplôme de la charia et une maîtrise de la charia en 1987. Par la suite, il a décroché son doctorat en charia islamique de l’université ”Umm al-Qura” de La Mecque en 1995. Il est connu pour la particularité de sa voix douce et sa psalmodie (Tajwid) singulière du Saint Coran. il a reçu le prix de ”la personnalité islamique de l’année” dans le 9ème Award annuel international de la récitation du coran à Dubaï en 2005. Il est actuellement imam de la grande mosquée sacrée de La Mecque (Al-Haram Al-Mequi) et ceci depuis l’âge de 23 ans. Qu’Allah le préserve et l’assiste ! Autre biographie : Son nom complet est docteur Abdurrahman ibn ‘Abdilaziz ibn Abdillah ibn Muhammad et il est appelé As-Sudays. Que l’on se trouve en Europe du nord, en Asie du sud ou dans les savanes d’Afrique, il n’est pas un musulman qui ne connaisse sheikh As-Sudays. En effet, le monde musulman connaît l’imam As-Sudays, l’imam de la Mosquée Sacrée. Il nous semble donc important de nous intéresser à la vie de ce Cheikh. Un imam remarquable, tant par sa voix que par sa science. Cheikh As-Sudays, un homme aimé de tous Allah a créé des serviteurs que les gens aiment et respectent. Il ne fait pas l’ombre d’un doute que sheikh As-Sudays en fait partie. En effet, les musulmans aiment l’écouter, l’aiment et le respectent. Les gens sont heureux lorsqu’ils le voient sobhanAllah. De plus, Allah l’aime car il lui a facilité le fait de devenir imam à la Mosquée Sacrée, de diriger la prière de millions de musulmans dans le lieu le plus propre au monde. Par ailleurs, lorsque l’on écoute sa récitation, on se sent apaisé sobhanAllah tellement que sa voix emporte… Ses origines et ses études Ses racines proviennent de la ville de ‘Amza qui se situe dans le département d’Al Bikiriya, près de la ville de Riyad. Il est né à Riyad en 1382. Sheikh As-Sudays a étudié à Riyadh. En effet, il intégra l’institut scientifique de Riyadh. Il a terminé ses études dans cet institut en 1399 en décrochant une mention excellent. À la suite de cela, il est entré à l’université de sciences islamiques de Riyadh et a fini ses études en 1403. Son père voulait qu’il apprenne le Saint Coran depuis son plus jeune âge. C’est ainsi qu’il l’a emmené dans une association spécialisée dans l’apprentissage du Coran. Sheikh Abdurrahman ibn Abdillah Al-Rayyan était le gérant de cette association. Sheikh Muhammad Majid était quant à lui enseignant au sein de cette même association. Un grand nombre de Shuyoukh ont enseigné le Saint Coran à Sheikh As-Sudays. Le dernier d’entre eux fut sheikh Muhammad Ali Hasan. C’est ainsi que sheikh As-Sudays termina l’apprentissage du Saint Coran dans sa totalité à l’âge de douze ans. Sheikh As-Sudays, une voix hors du commun Dès son plus jeune âge, Sheikh As-Sudays s’est fait remarquer par sa voix hors du commun. En effet, à chaque fois qu’il récitait le Saint Coran, les auditeurs étaient émus. Ainsi, le nom d’As-Sudays était connu de tous. On parlait de lui à travers l’Arabie Saoudite tellementque sa voix était belle macha Allah.À l’âge de vingt-deux ans, en 1404, Sheikh As-Sudays devint imam à la mosquée Sacrée. La première fois qu’il dirigea une prière à la Mecque fut le dimanche 22 du mois de Cha’bane. Il s’agissait de la prière du ‘Asr. Quant à sa première khoutba (sermon), elle eu lieu le 15 du mois de Ramadan de la même année (1404). Sheikh As-Sudays ou la soif de savoir Sheikh As-Sudays a toujours eu une curiosité accrue et un fort intérêt pour le savoir islamique. C’est ainsi que depuis sa plus tendre enfance, il fut excellent à l’école. En 1408, il a obtenu son Master avec mention excellent à l’université islamique nommée « imam Mohamed ibn Sou’oud », dans le département du fiqh. L’intitulé de son Master était : « Les problématiques qui concernent l’opposition entre Ibn Qudama et l’imam Al Ghazali ». Après son Master, il est devenu maître de conférence à l’université d’Oum al Qura à la Mecque au sein du département de la justice. Puis, il a obtenu son doctorat dans cette même université avec mention excellent en 1416. Sa thèse a été publiée. Cette dernière portait sur le fiqh et était plus particulièrement une étude et une enquête sur les fondements du fiqh de l’imam al Hanbali. Son promoteur fut le professeur Ahmed Fahmi. Au sein du jury ayant validé sa thèse se trouvait le professeur ‘Abdallah ibn ‘Abd al Mohsin al Turki. Ce dernier était le président d’une assemblée mondiale islamique. Parmi les membres du jury se trouvait également le docteur ‘Ali ibn ‘Abbas al Hakami, président du département des études islamiques à l’université d’Oum al Qura. Sheikh As-Sudays, bien plus qu’un imam Sheikh As-Sudays est le gérant de la Mosquée Sacrée et de la Mosquée du Prophète (‘alayhi salat wa salam) depuis 1433, suite à un décret du roi. Il a donc été nommé ministre de ces deux Mosquées Macha Allah. Sheikh As-Sudays est aussi professeur de fiqh à l’université d’Oum al Qura. En effet, il a eu un agrément afin d’y enseigner. Par ailleurs, il a reçu de nombreux prix et récompenses. Entre autres, il a eu le prix de la personnalité islamique mondiale. Il a également reçu une récompense de hafidh el Coran de la part de Dubaï en 1426. De même, il a ouvert un institut de recherche qui porte son nom. Cet institut a pour spécialité les fondements du fiqh en sciences islamiques. Il se situe au sein de l’université islamique Mohamed ibn Sou’ib. Enfin, il est gérant d’un groupe de da’wa islamique à la Mecque. Sheikh As-Sudays a également ouvert une université avec possibilité de cours par correspondance. Cette université se nomme « Knowling international university ». « Ô Abdarahmane, apprend le Coran pour être imam à la Mosquée Sacrée » Docteur Soudais, malgré sa popularité et son beau parcours macha Allah, n’oublie jamais l’aide d’Allah et de ses parents pour l’apprentissage du Coran. C’est ainsi qu’il se rappelle toujours des encouragements de sa mère (qu’Allah lui fasse miséricorde). En effet, lorsqu’il était petit, cette dernière lui disait : « Ô Abderahmane, apprend le Coran pour être imam à la Mosquée Sacrée ». Sheikh As-Sudays déclare que cette phrase est toujours ancrée dans sa mémoire et qu’elle se répète sans cesse dans son esprit. Ainsi, ce grand Sheikh entend toujours la voix de celle qui l’a mis au monde. De plus, il a confirmé que les invocations des parents sont toujours exaucées. Il conseille donc aux gens de toujours faire des dou’as à leurs enfants. Lorsque l’on voit Sheikh As-Sudays, ce dernier a toujours un sourire. Ce détail fait le bonheur des musulmans qui le croisent al hamdouliLlah. Cela est aussi et surtout une aumône macha Allah. Qu’Allah préserve Sheikh As-Sudays et le couvre de Son infinie Bénédiction. Puisse-t-il lui accorder la meilleure des récompenses ainsi que Sa Protection. Par Oum Ayoub

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    مؤلف, عدد العناصر : 214

    Savant et prêcheur saoudien. Docteur en dogme islamique à l’université islamique d’Al-Qassim et écrivain talentueux réputé pour sa sagesse et sa vaste connaissance de la langue arabe et de ses disciplines. Qu’Allah le préserve !

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    مؤلف, مُراجع, مترجم, عدد العناصر : 132

  • فرنسي

    مؤلف, عدد العناصر : 159

    Ibn Al-Qayyim : Une brève Biographie Il est l’Imam, le gardien des hadith , le Savant du tafsir (exégèse coranique), de l’ousoul (fondements de la jurisprudence et de la loi) et du Fiqh (jurisprudence), Abu ’Abdullah Shamsud-Din Muhammad Ibn Abi Bakr - plus connu sous le nom de Ibn Qayyim al-Jawziyyah (ou Ibnul-Qayyim). SA NAISSANCE ET SON EDUCATION : Il est né au sein d’une famille noble et savante, le septième jour de Safar en 691H dans le village de Zar’, près de Damas en Syrie. Dès son plus jeune âge il s’est mis à acquérir le savoir des sciences islamiques des savants de son époque. Décrivant sa soif de connaissance, al-Hafidh Ibn Rajab a dit dans Dhayl Tabaqatul-Hanabilah (4/449) : " Il avait un amour intense pour le savoir et les livres, les publications et les écrits." De même, Ibn Kathir a dit dans al-Bidayah wan-Nihayah (14/235) : "Il acquit de ces livres ce que d’autres n’ont pu acquérir, et il développa une grande compréhension des livres des Salafs (Pieux Prédecesseurs) et des khalafs (venus après les Salafs)." SES PROFESSEURS ET SHAIKHS : On trouve parmi eux Shihab an-Nablusi et Qadi Taqiyud-Din Ibn Sulayman, chez lesquels il a étudié la science du hadith ; Shaikh Safiyyud-Din al-Hindi et Shaikh Isma’il Ibn Muhammad al-Harani, chez qui il a étudié le fiqh et l’usul ; et aussi son père, chez lequel il appris les fara’id (lois de l’héritage). Cependant, le plus notable de ses Shaikhs était Shaikhul-Islam Ibn Taymiyyah, il l’a accompagné et a étudié avec lui pendant 16 ans. Al-Hafidh Ibn Kathir a dit dans al-Bidayah wan-Nihayah (14/234) : "Il a atteint un haut niveau dans plusieurs domaines du savoir, particulièrement dans le savoir du tafsir, du hadith et de l’usul. Lorsque Shaikh Taqiyyud-Din Ibn Taymiyyah est retourné d’ Egypte en 712H, il est resté avec le shaikh jusqu’à sa mort ; ayant appris une grande part de savoir de lui en plus de la science qu’il s’était occupé d’acquérir. Il est donc devenu un Savant unique dans plusieurs domaines du savoir." SON COMPORTEMENT ET SON ADORATION : Plusieurs de ses étudiants et contemporains ont témoigné de son excellent caractère et de son comportement dans l’adoration. Al-Hafidh Ibn Rajab a dit à son sujet dans Dhayl Tabaqatul-Hanabilah (4/450) : "Il (rahimahoullah) était constant dans l’adoration et dans le tahajjud (prière de nuit), atteignant les limites en allongeant sa Prière et sa dévotion. Il était constamment en état de dhikr (rappel d’Allah) et éprouvait un amour intense envers Allah. Il aimait profondément se tourner vers Allah dans le repentir, en s’humiliant devant Lui avec un grand sens de la modestie et d’impuissance. Il se jetait aux portes de l’obéissance divine et de la servitude. En fait, je n’ai pas vu pareil que lui en ce qui concerne cela." Ibn Kathir ( rahimahoullah) a dit dans al-Bidayah (14/234) :"Il était constant dans l’imploration humble et l’appel de son Seigneur. Il récitait bien et avait de bonne manières. Il avait une beaucoup d’amour et n’entretenait aucune envie ou méchanceté envers personne, ni il ne cherchait à nuire ou à trouver des défauts aux gens. J’étais un de ceux qui était le plus souvent en sa compagnie et un de ceux qu’il aimait le plus. Je ne connais personne en ce monde aujourd’hui, qui soit meilleur adorateur que lui. Sa prière était souvent très longue, prolongée de rukou’ et soujoud (prosternations). Ses collègues le critiquaient pour cela, mais il n’a jamais répondu (à leurs critiques) et n’a jamais abandonné cette pratique. Qu’Allah le couvre de Sa Miséricorde." SES ETUDIANTS ET SES TRAVAUX : On trouve parmi ses étudiants les plus éminents : Ibn Kathir (mort en 774H), adh-Dhahabi (mort en 748H), Ibn Rajab (mort en 751H) et Ibn ’Abdul-Hadi (mort en 744H), ainsi que deux de ses fils, Ibrahim et Sharafud-Din ’Abdullah. L’Imam Ibnul-Qayyim -rahimahoullah- fut l’auteur de plus de soixante travaux. Ses livres et écrits sont caractérisés par ses discours touchants destinés au cœur et à l’âme, ainsi que par leur exactitude, leur précision, la force des arguments et la profondeur de la recherche. Ses écrits incluent : l’Iamul-Muwaqi’in, Turuqul-Hukmiyyah, Ighathatul-Lahfan, Tuhfatul-Mawlud, Ahkam Ahlul-Dhimmah et al-Farousiyyah, tous dans le domaine du fiqh et de l’ousoul. En matière de hadith et de sirah (biographie) on peut trouver : Tahdhib Sunan Abi Dawoud, al-Manarul-Munif et Zadul-Ma’ad. Dans le domaine de la ’aquidah (croyances) : Ijtima’ al-Juyyoushul-lslamiyyah, as-Sawa’iqul-Mursalah, Shifa‘ul-’Aleel, Hadyal-Arwah, al-Kafiyatush-Shafiyah et Kitabur-Rooh. Dans le domaine de l’akhlaq (morale) et tazkiyah (purification) : Madarijus-Salikin (un commentaire de Manazilus-Sa’irin), ad-Da’ wad-Dawa’ : al-Jawabul-Kafi, al-Wabilus-Sayyib, al-Fawa‘id, Risalatut-Taboukiyyah, et ’Uddatus-Sabirin. D’autres livres comprennent : at-Tibyan fi Aqsamil-Qur‘an, Bada‘i’ul-Fawa‘id, Jala‘ul-Afham et Miftah Darus-Sa’adah. PAROLES DES SAVANTS A SON SUJET : Des hommages sur sa compréhension du savoir et sa ferme adhérence à la voie des Salaf ont été donnés par un nombre de Savants ; avec parmi eux : [1] Al-Hafidh Ibn Rajab, qui a dit dans Dhayl Tabaqatul-Hanabilah (4/448) : "Il avait une grande connaissance du tafsir et de ousoulud-din (fondements de la Religion), ayant atteint le plus haut degré dans ces deux domaines. De même dans le domaine du hadith, en ce qui concerne la compréhension de leurs sens, leurs subtilités et en déduire des règles. Egalement, en matière de fiqh et ses ousoul (principes), ainsi que la langue arabe. Il a rendu un grand service à ses sciences. Il était aussi bien instruit au sujet du kalam (discours et rhétorique des innovateurs), qu’au sujet des subtilités et des détails que l’on trouve dans les paroles des gens du tasawwuf (soufisme). » [2] Al-Haafidh Ibn Hajar, qui a dit à son sujet dans ad-Durarul-Kaaminah (4/21) : "Il possédait aussi bien un esprit courageux qu’un savoir complet et extrêmement étendu. Il avait une profonde connaissance concernant les divergences d’opinions des Savants et concernant les voies des Salafs." Ibn Hajar -rahimahullah- a aussi dit, dans son éloge de ar-Raddul-Waafir (p.68) : " Et si chaykh ibn taymiyya n’avait aucune vertu sauf son célèbre étudiant, Shaykh Shamsud-Deen Ibnul-Qayyim al-Jawziyyah -l’auteur de plusieurs travaux, dont autant ses opposants que ses partisans ont profité - alors cela serait une indication suffisante de sa (de Ibn Taymiyyah) grande position." [3] Ibn Naasir ad-Dimishqee a dit à son sujet dans ar-Raddul-Waafir (p. 68) : "Il a la science des sciences (islamiques), particulièrement la science du tafsir et de l’ousoul. Il a aussi dit : Aboo Bakr Muhammad Ibnul-Muhib a dit, tel qu’il est écrit dans sa lettre : J’ai dis devant notre Shaykh al-Mizzee : Ibnul-Qayyim est-il au même niveau que Ibn Khuzaymah ? Il répondit : Il est à cette époque, ce que Ibn Khuzaymah était à son époque." [4] As-Suyootee a dit dans Baghiyyatul-Wi’aat (1/62) : "Ses livres n’avaient pas d’égal et il a fait des efforts et a traversé la voie des grands Imams dans le [domaine du] tafsir, hadith, ousoul (fondements), furou’ (branches) et la langue Arabe." [5] Mullaa ’Alee al-Qaaree, qui a dit dans al-Mirqat (8/251) : "Ce sera clair pour quiconque désire lire l’explication de Manaazilus-Saa‘ireen, qu’ils [i.e. Ibn Taymiyyah et Ibnul-Qayyim] font partie des kibar (les plus grands) de Ahlus-Sunnah wal-Jama’ah, et de al awliya’ de cette Ummah." SA MORT : Imaam Ibnul-Qayyim est décédé à l’âge de soixante ans, la 13ème nuit de Rajab, 751H. Qu’Allah le couvre de Sa miséricorde. Post-Scriptum : Tiré de www.troid.org Traduit par Ummu Wassim, revu et corrigé par ummissa

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    مؤلف, مترجم, مُراجع, عدد العناصر : 139

    Prédicateur au bureau de prêche de Rabwah (Riyadh)

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    مصدر, مؤلف, عدد العناصر : 211

    Site officiel de la présidence des affaires des deux mosquées sacrées.

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    مُراجع, مترجم, مؤلف, عدد العناصر : 98

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    مؤلف, مُراجع, قارئ, عدد العناصر : 521

    Sheikh Abdulmuhsin Al-Qasim est un réciteur saoudien. Sheikh Abdulmuhsin Al-Qasim a été nommé en 1418 de l’hégire Imam de la Mosquée Prophétique à Médine. Il est également juge à la Cour Islamique de Médine. Qu’Allah le préserve !

  • فرنسي

    مؤلف, عدد العناصر : 134

    Grand savant de la péninsule arabique

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    مؤلف, قارئ, مُراجع, عدد العناصر : 155

    Salah Ibn Muhammad Al-Budayr est un réciteur et imam saoudien. Il est né à Houfouf (Est d’Arabie Saoudite) où il a grandi et étudié. Salah Ibn Muhammad Al-Budayr et son frère cadet sheikh ’Nabil’ ont des voix ressemblantes dans la récitation coranique. En 1406 H, il a commencé à gérer les prières simultanément avec le Cheikh ’Ahmed Assalmi’, alors qu’il était encore étudiant au lycée. Ensuite, il a poursuivi ses études à l’université islamique Mohammed Ibn saoud de Riyadh,en faculté de ”Chariâ”. Enfin, il est devenu juge en étudiant à l’institut supérieur de la magistrature de la même université. En tant qu’Imam, Salah Ibn Muhammad Al-Budayr est affecté d’abord dans la ville de Dammam, puis Riyadh avant de devenir imam de la mosquée du noble prophète à Médine. Il est juge aussi au Grand Tribunal de Médine. Salah Ibn Muhammad Al-Budayr présente des conférences islamiques concernant divers thèmes de la religion. En outre, il a enregistré sa récitation du Saint Coran. Plusieurs stations de radio, chaines de télévision et sites internet diffusent sa psalmodie coranique envoûtante et plein d’émotion. Qu’Allah le préserve !

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    مؤلف, عدد العناصر : 192

    Le Cheikh Mouhieddine Annawawi ibn Charaf ibn Mourri ibn Hassan ibn Houssayn ibn Joum’a ibn Houzam Al-Houzami le savant, Mouhieddine Abou Zakaria Annawawi et le Damassien Chaféite, l’illustrissime Imam de l’Islam, maître du fiqh (jurisprudence) de son époque est né en l’an 631 à Nawa (l’un des villages de Hourane). Il est arrivé à Damas en l’an 649 de l’hégire. Il apprit le Coran et étudia l’ouvrage at-Tanbih en quatre mois et demi, apprit le quart d’al-Mouhadhdhab durant le reste de l’année. Il suivait chaque jour douze leçons auprès des maîtres qui l’encadraient continuellement en matière de correction et d’explication. Ensuite, il s’occupa de la classification des ouvrages qu’il assembla en bon nombre dont certains furent terminés et d’autres demeurèrent inachevés. De ce qu’il en a achevé Sharh Moslim (explication du recueil des Hadiths de Moslim), Ar-Rawdha (le jardin des quêteurs), Al-Minhaj (les voies), Arriyadh (les jardins des pieux), Al Adhkar (les invocations), Attibyen (la mise en évidence), Tahrir Attenbih Wattashihih (rédaction et correction de l’ouvrage Attenbih). Tahdhib al Asma Walloughat (adaptation des noms et des langues) et Tabakat al Foukaha (les catégories des jurisconsultes), etc. Quant aux œuvres inachevées - et s’il en avait achevé, certaines d’entre elles seraient à même de les égaler telle Sharh al-Mouhadhab, qu’il intitula Al-Majmou’ et le rédigea jusqu’au chapitre consacré à l’usure où il en a pertinemment excellé, innové, informé et bien critiqué. Il rédigea le fiqh sur le thème de la confession religieuse et autre ainsi que le Hadith, al-Gharib, la langue et d’autres questions intéressantes qui ont été évoquées uniquement dans ce chapitre. Je ne connais nul autre ouvrage en fiqh meilleur que celui-là, bien qu’il manque des chapitres à introduire. Le Cheikh se consacrait largement à l’ascétisme, à la dévotion, à la piété, à la vigilance et à la réclusion dont nul autre par les experts du fiqh ne pouvait faire de même. Il jeûnait toute l’année. La plus grande part de sa subsistance venait de son père de Nawa. Il entama l’enseignement à l’école Al Ikbalia, en remplacement d’Ibn Khéllikan, ainsi qu’aux écoles Al Falakiya et Al Roknia comme il prit en charge l’enseignment à Dar al-Hadith al-Ashrafiya. Il ne gaspillait rien de son temps. Il accomplit le pèlerinage au cours de sa résidence à Damas. Il exhortait les rois et autres au bien et leur déconseillait le mal. Il décéda au cours de la nuit du vingt-quatre du mois de Rajab, en l’an 676 H à Nawa où il fut enterré. Qu’Allah l’accueille en Sa miséricorde et nous accorde Son pardon ! Autre biographie L’imâm An-Nawawî Les Savants t8 Quel musulman éclairé n’a jamais entendu parler de l’imâm An-Nawawî ? Toute personne soucieuse de cheminer vers son Seigneur selon les enseignements prophétiques s’est inspirée ― au moins une fois dans sa vie ― d’un des ouvrages de ce grand savant. Un aperçu biographique de son parcours permet de mettre en lumière un caractère unique associé à une méthode de travail exigeante mais ô combien efficace ! Contexte historique Le septième siècle de l’Hégire connut une période de troubles concentrés principalement dans la région du Châm (Syrie, Liban, Jordanie et Palestine). Ce fut au cours de ce siècle que les Mongols envahirent l’Est et que les croisés exercèrent leur domination sur certaines parties des territoires musulmans à l’Ouest. En l’an 656 H, les Mongols conquirent Baghdâd, capitale des Abbassides, mais en 658 H, sous le règne d’Al-Moudhaffar Qoutoûz Ibnou ‘Abdillâh et le commandement militaire d’Adh-Dhâhir Baybars, les musulmans leur infligèrent une âpre défaite à ‘Ayn Jâloût. Idem en 679 H, lorsque ces mêmes Mongols tentèrent de prendre la ville d’Alep. Les musulmans ont ensuite toujours réussi à repousser l’ennemi mongol et finirent par chasser les croisés en 691 H. Par la grâce divine, ces agitations n’empêchèrent pas les étudiants de venir s’instruire dans cette région. Enfance d’An-Nawawî Mouhyî-d-dîn Aboû Zakariyâ Yahyâ Ibnou Charaf Al-Hizâmî An-Nawawî vit le jour en 631 H dans la ville de Nawâ, dans la grande tribu de Hoûrân au sud de Damas (Syrie). Sa famille n’étant pas très connue, peu d’informations sont rapportées sur ses aïeux. Malgré la modestie de cette lignée, le père d’An-Nawawî avait tout de même la réputation d’être un homme pieux et scrupuleux par crainte d’Allâh . Il avait un jardin dans lequel il faisait pousser de quoi nourrir sa famille. Il s’interdisait ― et interdisait à sa famille ― de manger toute nourriture qui pourrait être illicite. Dès son plus jeune âge, Mouhyî-d-dîn montrait un grand sérieux et commença à apprendre le Coran à dix ans. Il n’était pas attiré par les jeux de son âge et préférait nettement mémoriser le Coran et se consacrer aux études. Mais les autres enfants, ne comprenant pas son attitude le forcèrent un jour à jouer avec eux. Passant par là, un savant du nom de Yâsîn Ibnou Yoûssouf Al-Mourrâkouchî (qui venait du Maghreb) assista à la scène et voyant le petit An-Nawawî en larmes devant ses parchemins coraniques et fuyant ses pairs, comprit que cet enfant avait un grand avenir dans l’apprentissage des sciences religieuses. L’érudit fit part aux parents de Mouhyî-d-dîn de sa prédiction pieuse (« firâsatou-l-‘oulamâ’ ») et les conseilla d’encourager le jeune enfant à apprendre. Une perpétuelle quête du savoir En 649 H, âgé de dix-huit ans, Mouhyî-d-dîn An-Nawawî émigra avec son père à Damas pour y poursuivre ses études. De nombreux établissements islamiques s’offraient au jeune homme, mais son choix se porta sur « Dâr al-hadîth : la Demeure du hadîth » et séjourna dans une école appelée « al-madrassa ar-riwâhiyâ », accolée à la très grande mosquée omeyyade « Al-Masjid al-amâwî ». Sa chambre était si petite et ses livres si nombreux que lorsque quelqu’un venait lui rendre visite, le seul moyen de s’asseoir était d’empiler les volumes les uns sur les autres. Il demeurera dans ce logement pendant plusieurs années, jusqu’à ce qu’il prenne la tête de l’école Ach-charafiya. Cour intérieure de Masjid Al-Amâwî Entre temps, en l’an 651 H, il accompagna son père à la Mecque et ils y accomplirent leur pèlerinage. Mouhyî-d-dîn n’avait alors que vingt ans. Il visita également Médine et d’autres endroits avant de revenir à Damas où il restera jusqu’à peu de temps avant sa mort. Ce long séjour à Damas lui valut l’appellation d’Ad-Dimachqî. Durant son cursus à Ar-Rawâhiya, il lui est arrivé d’assister à douze cours par jour, incluant la langue arabe, les ahâdîth, la jurisprudence et les fondements du droit islamique. Parmi ses célèbres professeurs figuraient Ishâq Ibnou Ahmad Al-Maghribî Al-Maqdisî (mort en 650 H), ‘Abdour-Rahmâne Al-‘Anbarî (m. 661 H) et ‘Aboul‘azîz Al-Ansârî (m. 662 H). Il étudia Sahîh Mouslim auprès d’Aboû Ishâq Ibrâhîm Al-Wâçitî. Il se mit à enseigner en 655 H, à l’âge de vingt-quatre ans à l’école Ach-charafiya. Ses qualités de savant et sa réputation commençaient à être unanimement reconnues par les érudits et les habitants de Damas. An-Nawawî possédait certes des facilités d’apprentissage : son impressionnante mémoire lui permettait de retenir une quantité considérable d’informations en peu de temps. Outre sa parfaite maîtrise du Coran et son remarquable mémorisation du hadîth, il se spécialisa dans plusieurs autres sciences. La recherche du savoir a prédominé durant toute son existence. Il était tellement dévoué à la science qu’il ne pensa même pas à se marier. Il passait tout son temps à apprendre, étudier et enseigner. On rapporte même qu’il ne s’endormait que lorsqu’il était vaincu par le sommeil. Il se reposait alors sur son livre et dormait un peu, puis reprenait d’emblée son étude à son réveil. An-Nawawî dit de lui-même : « J’ai passé deux ans sans m’allonger [pour dormir] sur le côté. » Al-Qoutb Al-Younînî déclara à son propos : « Il ne délaissait aucun moment du jour ou de la nuit et occupait tout son temps à acquérir du savoir. Même lorsqu’il marchait dans la rue il se rappelait et révisait ses notes. Il continua à apprendre de cette manière pendant six ans. » Ses ouvrages C’est à partir de vingt-neuf ans qu’An-Nawawî se lança dans l’écriture. La plupart de ses livres ― novateurs en la matière ― ont réellement été utiles à la communauté musulmane et sont toujours d’actualité : - Charh Sahîh Mouslim : ce commentaire est devenu une référence incontournable concernant l’explication des ahâdîth rapportés par Mouslim ; - Al-Majmoû‘ li charhi al-mouhadhdhab ; - Riyâdh Aç-Çâlihîn: le jardin des vertueux ; - le livre des adhkâr dans lequel il a rassemblé plusieurs rappels énoncés par le Prophète ; - un recueil de quarante ahâdîth qu’il considère comme étant le socle de l’Islam ; - Al-Minhâjou fîl-fiqh. Son austérité Chaykhou-l-Islâm, comme il convenait de l’appeler par respect, mena une vie simple et dépouillée. Certaines narrations rapportent qu’il ne possédait qu’un turban et une longue robe. Il ne désirait aucun des plaisirs de ce monde et jeûnait fréquemment. Il ne se nourrissait en général qu’une fois par jour, après la dernière prière obligatoire et ne buvait aussi qu’une fois ― un verre d’eau froide qui le maintenait en éveil ―, avant l’aube. À un certain moment de sa vie, il ne se nourrissait de temps à autres que de pain et d’olives que lui envoyait son père de Nawâ. Une des raisons de sa frugalité reposait sur le doute quant aux sources licites ou non des aliments. An-Nawawî était effectivement très scrupuleux : il préférait délaisser le licite de peur de tomber dans l’illicite. Pour illustration, il ne consommait pas les fruits de Damas, issus de vergers relevant du legs pieux (al-waqf) et exploités par des métayers, car une divergence d’opinion existait entre les savants sur la validité du métayage. Un jour de l’aïd (fête), le qâdî Soulaymâne Az-Zar’î rendit visite à An-Nawawî. Celui-ci mangeait une sorte de pain sans viande. Il en proposa à Soulaymâne, qui ne fut pas attiré par cette nourriture. Le frère du qâdî alla acheter de la viande grillée et des friandises. Soulaymâne en proposa à An-Nawawî qui refusa. Le qâdî s’enquit : « Est-ce interdit, mon frère ? » An-Nawawî de répondre : « Non, mais c’est la nourriture des tyrans. » Il suivait en cela l’exemple du Prophète à qui il arrivait de ne pas consommer de viande durant plusieurs jours. Aussi, l’imâm ne ménageait pas les gouverneurs et n’hésitait pas à les conseiller si besoin était. L’imâm An-Nawawî n’acceptait jamais les cadeaux ou les donations. Lorsqu’il enseignait à Dâr al-hadîth, il avait droit à un salaire mensuel alloué par al-awqâf (ministère des legs pieux). Il ne le prenait cependant pas et une fois par an, il demandait au nâdhir (responsable d’al-awqâf) de lui donner la somme réunie. Il achetait alors un bien conséquent qu’il mettait à disposition d’al-awqâf pour son école. Il faisait également preuve d’une grande modestie. Preuve en est qu’il n’acceptait jamais d’être servi par un de ses élèves. En revanche, il continua à être au service de ses étudiants jusqu’à sa mort. Sa fin En l’an 676 H, alors âgé de quarante-cinq ans, Chaykhou-l-Islâm revint à Nawâ. Pressentant peut-être que ses jours étaient comptés, il salua tous ses amis, visita les tombes des savants avec qui il étudia et invoqua Dieu pour eux. Bien sûr, il rendit visite à son père, puis se rendit à Bayt al-maqdis (Jérusalem) et dans la ville d’Al-Khalîl. À son retour dans sa ville natale, il tomba gravement malade et succomba à l’affection quelques temps après. Beaucoup de personnes participèrent à son cortège funéraire et même qâdî-l-qoudât (équivalent du ministre de la justice) ‘Azzedîne Mouhammad Aç-Çâ’igh se déplaça de Damas avec les amis du défunt. Ils accomplirent une autre prière mortuaire devant sa tombe pour lui rendre hommage. « Celui qui revivifie la religion » : tel est le sens de « Mouhyî-d-dîn », prénom de l’imâm An-Nawawî. Au vu de la production novatrice de cet illustre savant, il est clair que cette appellation ne relève pas du hasard. Son dévouement et le sacrifice de sa vie ne furent pas vains et laissèrent plutôt une trace indélébile : les musulmans du monde entier tirent profit de ses précieux ouvrages et lui en sont très reconnaissants. Qu’Allâh lui ouvre les portes de Sa miséricorde.

  • فرنسي

    مؤلف, مُراجع, مترجم, عدد العناصر : 77

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    مؤلف, قارئ, عدد العناصر : 123

    Récitateur du Coran.

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    مُراجع, مترجم, مؤلف, عدد العناصر : 76

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    مؤلف, عدد العناصر : 40

  • فرنسي

    مؤلف, مُراجع, مترجم, عدد العناصر : 124

  • فرنسي

    مؤلف, عدد العناصر : 117

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    مؤلف, مترجم, مُراجع, عدد العناصر : 89