- فرنسي
-
فرنسي
Ibn Abdil-Barr : an-Namiri, Al-andalusî, Abu ’ Umar, hafiz du Maghrib et Sheikh al-Islam. Il est né à Cordoue en 368 H/978 et est mort à l’âge de 95 ans à Shatiba en 463H/1071. Il fut un éminent savant en hadith –traditionaliste- , il a été surnommé " le savant en Hadith de l’ouest ". Ibn Hazm a dit de lui: " il n’y a personne qui a plus de connaissance du fiqh du hadith que lui." Il était tout d’abord littéraliste puis devint malikite avec une préférence du Fiqh Shafiite pour certains sujets, mais personne ne critiquait cela chez lui puisqu’il avait atteint le degré d’Imâm Mujtahid. Il a écrit un certain nombre de travaux, le plus célèbre d’entre eux est al-Isti’ab et Attamhid. Il a voyagé dans toute l’Andalousie et a agi en tant que qadi plusieurs fois. Il a écrit le premier commentaire principal de Muwattaa’ appelé al-Istidhkâr. Qu’Allah lui fasse miséricorde...
- فرنسي
- فرنسي
-
فرنسي
Aboû Hâtim Ar-Râzî (810-890 H) Né en 195 de l’Hégire (810 ap. J.C.). Il est l’imam Mouhammad Ibn Idrîs. L’Imâm Abou Hâtim Ar-Râzî a dit : « Un des signes des jahmites est qu’ils nomment les gens de sounna (comme étant) les anthropomorphistes » [Source : Al-Lalikâ’î, vol. 2, p. 201, #321, vol. 2, p. 204, #323, vol. 3, p. 588, #939]. Décédé en 277 de l’Hégire (890 ap. J.C.) {رحمه الله}.
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
-
فرنسي
Grand savant de l’islam aux nombreux livres bénéfiques dont le célèbre Fath Al-Bary l’explication du recueil d’Al-Boukhary... Biographie : Biographie de l’imam Ibn Hajar Al-Asqalani Le nom complet du célèbre Imam, connaisseur, ibn Hajar Al-Asqalani est Abû al-Fadl, Shihâbouddin Ahmad ibn ‘Ali ibn Muhammad ibn Muhammad ibn Ahmad al Kinâni Ach-Châfi’i. Ibn Hajar Al-Asqalani est né le 10 ème jour du mois de Chaâbane 773 H., en Egypte où il a grandi. À l’âge de neuf ans, il a retenu par cœur, le Coran, al Hâwi, al Moukhtasar d’Ibn Al Hajib, et d’autres livres. Il partit, à la recherche de la science, à La Mecque où étaient les savants. En plus de son aspiration à la connaissance des Hadîths et son commencement à l’acquérir auprès des grands savants du Hijâz, du Châm, et de l’Égypte, il a aussi étudié chez al Balqini, Ibn al Moulaqqin et d’autres. Nombre d’éminents savants de son époque attestèrent de ses connaissances et l’autorisèrent à enseigner et à rendre des décisions juridiques. Il avait appris les deux sources (le Coran et le Hadîth) d’Al-‘Izz ibn Jamâ’a, la langue d’Al-Majd Al-Fairouzabâdi, l’arabe d’Al-‘Amâri, la littérature et la poésie d’Al Badr Al-Mouchtaki et l’écriture d’un groupe de professeurs. Il a aussi récité quelques parties du Coran avec les sept lectures. Il s’est surtout spécialisé dans la science du Hadîth ; en effet, il étudia le Hadîth, apprit, écrit et rendit des fatwas (décisions juridiques). Il a aussi appris le Tafsîr (interprétation du Coran), le Hadîth, le Fiqh (la jurisprudence) et il a prêché en beaucoup d’endroits, même à Al-Azhar, à la Mosquée de ‘Amr et en d’autres endroits. Sa mémoire était si grande qu’il dictait à ses élèves sans notes. Beaucoup de savants distingués voyageaient pour acquérir de ses vastes connaissances. Ibn Hajar Al-Asqalani a écrit plus de 150 ouvrages, la plupart dans le domaine de la science du Hadîth, science qui a prospéré à son époque. Les rois et les princes s’offraient ses œuvres comme présents. Son livre le plus digne de mention est Fath Al-Bâri (commentaire de Sahih al Bukhârî) dont la rédaction commencée au début de l’année 813 H. a été terminée entièrement au mois de Rajab 842 H. Ibn Hajar est devenu le Juge d’Égypte, ensuite Ach-Châm a été ajouté à sa juridiction qu’il a tenue plus de vingt et un ans. Concernant sa personnalité, ibn Hajar Al-Asqalani était humble, tolérant, patient et endurant. Il a été décrit comme étant épanoui, ferme, prudent, ascétique, désintéressé, généreux, dépensier en charité et une personne qui prie et jeûne les surérogatoires. Il a aussi été dit qu’il aimait plaisanter et raconter des anecdotes humoristiques. Il avait un bon comportement avec tous les Imams quels que soient leurs niveaux et avec tous ceux qui lui ont tenu compagnie de sa jeunesse à sa vieillesse. Ibn Hajar est mort après la prière du Icha un samedi, le 8 ème du mois de Dhoul al-Hijja en 852 H. Qu’Allah le récompense généreusement ! Autre biographie : L’Imâm Ibnou Hajar Al’asqalânî (que Dieu lui accorde Sa miséricorde) Les sciences du hadith comptent de nombreux spécialistes qui excellaient en la matière de façon unanimement reconnue. Ibnou Hajar Al-‘Asqalânî appartenait à cette catégorie de savants et porte avec justesse son titre d’Emir des Croyants en Hadîth. Tout comme l’imâm Al-Boukhârî, sa mémoire était extraordinaire. Il fut un grand docte pour la communauté musulmane en son époque et il le restera jusqu’à la fin des temps. Ses origines et son enfance Aboû-l-Fadl Chihâbouddîn Ahmad Ibnou ‘Alî Ibnou Mouhammad Ibnou Mouhammad ‘Alî Al-Kinânî Ach-Châfi’î Ibnou Hajar Al-‘Asqalânî vit le jour au Caire le 10 du mois de Cha’bâne, en l’an 773 H (1372 ap. J.-C.). Il était le fils de l’érudit châfi’ite et poète Nour-d-Dîne ‘Alî et de la lettrée Tujjar. Sa famille était originaire de Qabis, en Tunisie, mais ses grands-parents quittèrent cette ville pour émigrer à ‘Asqalân, en Palestine, en 583 H ; puis, face à la menace des Croisés, ils délaissèrent cette contrée. A l’âge de quatre ans, Ibnou Hajar était déjà orphelin de père et de mère, et devint, avec sa sœur, pupille de Zakiyyou-d-Dîne Al-Kharroûbî, le frère de la première épouse de son père. Le protecteur enrôla Ibnou Hajar dans un groupe d’apprentissage du Coran, alors qu’il avait cinq ans. L’enfant prodige se distingua des autres par son aisance à retenir ce qu’il apprenait : il mémorisa sourate « Maryam » en une journée ! Le Saint Coran habita son cœur alors qu’il était âgé de neuf ans, et il apprit d’autres grands ouvrages tels que « Al-Hâwî » et « Al-Moukhtasar » d’Ibnou Al-Hâjib. Lors de sa douzième année, il accompagna Al-Kharroûbî à La Mecque, où il était assez compétent pour diriger les orants durant la prière de tarawih. Malgré le décès de son père de substitution, deux ans plus tard, Ibnou Hajar put poursuivre ses études. Sa recherche du savoir En 786 H, Ibnou Hajar se rendit en Egypte où son instruction fut confiée au traditionniste Chamssou-d-Dîne Ibnou Al-Qattâne, qui l’introduisit aux cours dispensés par les grands érudits cairotes Al-Boulqînî (mort en 806 H) et Ibnou Al-Moulaqqin (mort en 804 H), pour ce qui était de la jurisprudence chafi’ite ; et par Zaynou-d-Dîne Al-‘Irâqî (mort en 806 H), pour le hadith. Suite à cela, il put d’abord voyager à Damas et à Jérusalem où il étudia sous l’égide de Chamssou-d-Dîne Al-Qalqachandî (mort en 809 H), de Badrou-d-Dîne Al-Balisî (mort en 803 H), et de Fatîma Bintou Al-Manja At-Tanoukhiyya (morte en 803 H). Il sillonna également le Châm et Alexandrie, afin d’acquérir de nouvelles connaissances et partager les siennes. Il se rendit de nouveau à La Mecque et à Médine, puis au Yémen, pour enfin s’en retourner en Egypte. Après une pause de quelques années, cheykh Al-Islâm reprit sa quête du savoir pour s’intéresser à l’histoire et à la littérature arabe. Al-Badr Al-Bouchtaki, un savant contemporain, l’encouragea à lire « Al-Ghânî », un des plus grands écrits traitant de la littérature arabe et comportant vingt à trente volumes, mais ceci ne découragea nullement l’illustre imâm.A 60 ans, il était reconnu comme un grand savant, mais cela ne l’empêchait pas de voyager, toujours à la recherche de la science. Son mariage A vingt-cinq ans, il avait épousé la brillante Anas Khatoun, alors âgée de dix-huit ans. Experte en hadith, elle avait étudié auprès de l’imâm Abou Bakr Al Mizzî et reçu son ijâza (certification du savoir) de Zaynou-d-Dîne Al-‘Irâqî. En présence de son mari, elle donnait des cours publics auxquels assistaient des futurs grands savants dont l’imâm As-Sakhâwî. Après son mariage, Ibnou Hajar s’était installé dans la demeure de sa femme : il y vécut le restant de ses jours. Son épouse aimait s’occuper des personnes âgées, des pauvres et des handicapés. Cette bienfaisance lui conféra une réputation de sainte ; sa notoriété prit une telle ampleur que, lors de ses quinze années de veuvage, qu’elle consacra aux bonnes œuvres, elle reçut une demande en mariage de la part de l’imâm ‘Alamou-d-Dîne Al-Boulqînî : l’homme considérait que l’union avec une telle femme était un honneur et une source de grande fierté. Un personnage aux multiples facettes Le domaine de prédilection d’Ibnou Hajar fut certes le hadith : il y excellait, mais ses connaissances étaient tellement vastes et variées qu’il fut promu à différentes et importantes fonctions, à la demande du peuple, tout au long de sa vie. Il enseignait de mémoire diverses sciences islamiques telles que l’exégèse, le tajwîd (notamment à l’université d’Al-Azhar) ; il fut qâdî (juge), mouftî et imâm puisqu’il prononçait les sermons du vendredi. A cette époque, toutes ces charges exigeaient des critères bien spécifiques et n’étaient attribuées qu’à des savants ou à des personnes qualifiées. Un jour, en Egypte, alors qu’il se rendait à son travail sur une charrette tirée par des bêtes, il passa près d’un juif vendeur d’huile. L’individu, vêtu de haillons souillés, s’adressa à lui : « Certes votre Prophète dit : "Ce bas-monde est la prison du croyant et le paradis du mécréant". Et toi, tu es juge des juges en Egypte, et tu es dans ce bienfait ! Tandis que moi je suis dans ce châtiment et cette difficulté ! » C’est alors qu’Ibnou Hajar lui rétorqua : « Je suis dans ce que je suis comme bienfait, mais ce bienfait en comparaison à celui du paradis est l’équivalent d’une prison pour moi. Alors que la difficulté dans laquelle tu te trouves, par rapport au châtiment de l’enfer, est l’équivalente du paradis pour toi ! » Et le juif de concéder : "Achhadou allâ ilâha illa-lâhou, wa achhhadou anna Muhammadan rasoulou-Lâh !". Ses qualités Il bnou Hajar était honoré par ses pairs, si bien qu’ils lui donnaient toujours la préséance. Al-Bouqâ’î l’élevait au rang d’imâm des musulmans, et Ach-Chawkânî reconnaissait en lui « al-Hâfidh » (« le garant ») par excellence : quand ce qualificatif désignait quelqu’un d’autre, il était systématiquement suivi du nom de cette personne, à l’exclusion d’Ibnou Hajar. Il était reconnu pour sa piété et son détachement de la vie présente. Al-Bouqâ’î rapportait sur lui qu’il jeûnait fréquemment et se nourrissait peu. Il faisait également très attention à la provenance et au caractère licite de sa subsistance. Son tempérament charitable, sa générosité et sa longanimité faisaient de lui un homme de cœur proche des gens. Il respectait tous les savants et se comportait de la meilleure façon avec les personnes qui l’accompagnaient, quels que soient leur âge et leur statut. Ses ouvrages L’imâm Ibnou Hajar est l’auteur de plus de 150 écrits traitant pour la plupart du hadith, mais aussi de l’histoire, de la poésie, de l’exégèse coranique, de la biographie ou de la jurisprudence chafi’ite. C’est au Caire qu’il rédigea les ouvrages les plus complets et bénéfiques pour la communauté musulmane. Parmi eux on compte : - « Ad-Dourar Al-Kâminah » (un dictionnaire biographique sur les grandes figures du huitième siècle) ; - un commentaire des « Quarante Hadiths d’An-Nawawî » ; - « Tahdhîb at-tahdhîb » (un résumé de « attahdhîb al-kâmil », un dictionnaire encyclopédique des narrateurs de hadiths de l’imâm Al-Mizzî) ; - « Al-Isâbah fî tamyîzi-s-sahâbah », le dictionnaire des compagnons le plus utilisé ; - « Bouloûghou al-marâm min adillati-l-ahkâm » (jurisprudence chafi’ite). En 817 H, Ibnou Hajar s’engagea dans l’assemblage de « Fath Al-Bârî fî charh Sahîh Al-Boukhârî », le meilleur commentaire de « Sahîh Al-Boukhârî ». L’origine de cet opus était une série de citations dictées à ses étudiants en hadîth : il les recopiait et distribuait ensuite au fur et à mesure à ses disciples ; ceux-ci en discutaient avec lui une fois par semaine. Alors que le travail progressait et que l’auteur gagnait en notoriété, ce nouvel ouvrage attira l’attention du monde islamique. En 833 H, le fils de Timor Lang (chef des Turcs de l’Asie Centrale à la deuxième moitié du quatorzième siècle) écrivit une lettre au sultan mamlouk Al-Achraf Barsbay sollicitant plusieurs cadeaux, dont une copie de « Fath Al-Bârî ». Ibnou Hajar put lui envoyer les trois premiers volumes. Ce n’est qu’en 842 H que l’œuvre complète fut disponible : une grande fête fut organisée à cette occasion sur une place du Caire en la présence de savants, de juges et de dirigeants égyptiens. Certains savants notèrent que cette œuvre faisait office de dictionnaire de la tradition prophétique, et même des sciences islamiques. D’autres avancent qu’elle était tellement complète que toute question y trouve une réponse satisfaisante. Sa fin Cheykh Al-Islâm quitta la vie présente après la prière du ‘ichâ’, le 8 du mois de Dhou-l-Hijja, en 852 H (1449 ap. J.-C.), à l’âge de 79 ans. 50000 personnes, incluant le sultan et le calife, avaient suivi ses funérailles. Son souvenir restera celui d’un homme de bien, magnanime, svelte et de petite taille, aimant la calligraphie. Sa vie entière consacrée aux hadîths ancra dans son cœur un amour profond pour le Prophète , comme il en parlait lui-même dans son « dîwân » (recueil de poésie), dont l’original est conservé à la Bibliothèque Nationale d’Egypte. Qu’Allah lui fasse miséricorde !
- فرنسي
-
فرنسي
célèbre savant de l’islam, élève de cheikh al-islam Ibn Taymiya, connu pour son exégèse du coran. qu’Allah lui fasse miséricorde. Biographie de l’imam Ibn Kathir Imam Abou al-Fidâ Imadoud-Dîne Ismaël ibn Omar ibn Kathîr Al-Korachi Al-Basrawi naquit en 701 H. à Mijdal, un village dans les faubourgs de Bosra, au sud de Damas. Son père était prédicateur. Il mourut alors qu’Ibn Kathîr avait quatre ans. Son frère, le cheikh Abdoul-Wahâb prit soin de lui et veilla sur son éducation. Il déménagea à Damas en 706 H, quand ibn Kathîr avait cinq ans. Les maîtres d’Ibn Kathîr : Ibn Kathîr a étudié la jurisprudence islamique avec Borhânid-Dîne Al-Fizâri, Kamalid-dine ibn Kâdi Chahbah et autres. Il a appris At-tanbih d’Ach-Chirâzi, Moukhtassar ibn Al-Hajib. Il a accompagné Al-Mizzi et récité devant lui son célèbre ouvrage « Tahthib al-kamal fi asmâ-ir-rijâl ». Il s’est marié avec Zaïnab, la fille de son maître. Il a étudié chez Ibn Taymiyyah et d’autres oulémas. Dans “Ad-dorar al-kâminah fi aayân al-miah ath-thâminah”, Al-Hâfidh Ibn Hajar Al-Asqalâni dit : « Il avait une bonne mémoire. Il était éloquent. Ses livres étaient populaires durant sa vie, et les gens en profitent encore après sa mort. » Chihâboud-Dine ibn Hajji était l’un des élèves d’Ibn Kathîr. Il décrit son maître : « Il était le meilleur mémorisateur des chaînes de narrateurs des hadîths, leurs textes et leurs niveaux d’authenticité. Il était le meilleur à maitriser le Hadîth, le meilleur à distinguer les narrateurs et les récits. Il était versé en exégèse et en Histoire. Il maîtrisait la langue arabe et composait la poésie. Chaque fois que je le rencontrais, je profitais de nouvelles connaissances.» Dans son livre « Ar-radd al-Wâfir », Al-Hâfidh Chamsoud-Dine l’a décrit : « Il était un pilier digne de confiance pour les narrateurs, une référence pour les historiens et un point de repère pour les exégètes.» Ses livres : Il a écrit plusieurs livres, dont notamment : * La célèbre exégèse connue sous le nom de « Tafsir Ibn Kathîr ». Ce livre compte parmi les meilleurs livres basés sur les diverses techniques d’exégèse. * Le célèbre livre d’histoire connu sous le nom de « Al-bidâyah wan-nihâyah » * La biographie du prophète (As-Sîrah an-nabawiyya) sous le nom de « Al-fousoul fiktisâr siratir-Rasoul » Il mourut à Damas en 774 H. Qu’Allah le couvre de sa miséricorde.
- فرنسي
-
فرنسي
Ibn Al-Qayyim : Une brève Biographie Il est l’Imam, le gardien des hadith , le Savant du tafsir (exégèse coranique), de l’ousoul (fondements de la jurisprudence et de la loi) et du Fiqh (jurisprudence), Abu ’Abdullah Shamsud-Din Muhammad Ibn Abi Bakr - plus connu sous le nom de Ibn Qayyim al-Jawziyyah (ou Ibnul-Qayyim). SA NAISSANCE ET SON EDUCATION : Il est né au sein d’une famille noble et savante, le septième jour de Safar en 691H dans le village de Zar’, près de Damas en Syrie. Dès son plus jeune âge il s’est mis à acquérir le savoir des sciences islamiques des savants de son époque. Décrivant sa soif de connaissance, al-Hafidh Ibn Rajab a dit dans Dhayl Tabaqatul-Hanabilah (4/449) : " Il avait un amour intense pour le savoir et les livres, les publications et les écrits." De même, Ibn Kathir a dit dans al-Bidayah wan-Nihayah (14/235) : "Il acquit de ces livres ce que d’autres n’ont pu acquérir, et il développa une grande compréhension des livres des Salafs (Pieux Prédecesseurs) et des khalafs (venus après les Salafs)." SES PROFESSEURS ET SHAIKHS : On trouve parmi eux Shihab an-Nablusi et Qadi Taqiyud-Din Ibn Sulayman, chez lesquels il a étudié la science du hadith ; Shaikh Safiyyud-Din al-Hindi et Shaikh Isma’il Ibn Muhammad al-Harani, chez qui il a étudié le fiqh et l’usul ; et aussi son père, chez lequel il appris les fara’id (lois de l’héritage). Cependant, le plus notable de ses Shaikhs était Shaikhul-Islam Ibn Taymiyyah, il l’a accompagné et a étudié avec lui pendant 16 ans. Al-Hafidh Ibn Kathir a dit dans al-Bidayah wan-Nihayah (14/234) : "Il a atteint un haut niveau dans plusieurs domaines du savoir, particulièrement dans le savoir du tafsir, du hadith et de l’usul. Lorsque Shaikh Taqiyyud-Din Ibn Taymiyyah est retourné d’ Egypte en 712H, il est resté avec le shaikh jusqu’à sa mort ; ayant appris une grande part de savoir de lui en plus de la science qu’il s’était occupé d’acquérir. Il est donc devenu un Savant unique dans plusieurs domaines du savoir." SON COMPORTEMENT ET SON ADORATION : Plusieurs de ses étudiants et contemporains ont témoigné de son excellent caractère et de son comportement dans l’adoration. Al-Hafidh Ibn Rajab a dit à son sujet dans Dhayl Tabaqatul-Hanabilah (4/450) : "Il (rahimahoullah) était constant dans l’adoration et dans le tahajjud (prière de nuit), atteignant les limites en allongeant sa Prière et sa dévotion. Il était constamment en état de dhikr (rappel d’Allah) et éprouvait un amour intense envers Allah. Il aimait profondément se tourner vers Allah dans le repentir, en s’humiliant devant Lui avec un grand sens de la modestie et d’impuissance. Il se jetait aux portes de l’obéissance divine et de la servitude. En fait, je n’ai pas vu pareil que lui en ce qui concerne cela." Ibn Kathir ( rahimahoullah) a dit dans al-Bidayah (14/234) :"Il était constant dans l’imploration humble et l’appel de son Seigneur. Il récitait bien et avait de bonne manières. Il avait une beaucoup d’amour et n’entretenait aucune envie ou méchanceté envers personne, ni il ne cherchait à nuire ou à trouver des défauts aux gens. J’étais un de ceux qui était le plus souvent en sa compagnie et un de ceux qu’il aimait le plus. Je ne connais personne en ce monde aujourd’hui, qui soit meilleur adorateur que lui. Sa prière était souvent très longue, prolongée de rukou’ et soujoud (prosternations). Ses collègues le critiquaient pour cela, mais il n’a jamais répondu (à leurs critiques) et n’a jamais abandonné cette pratique. Qu’Allah le couvre de Sa Miséricorde." SES ETUDIANTS ET SES TRAVAUX : On trouve parmi ses étudiants les plus éminents : Ibn Kathir (mort en 774H), adh-Dhahabi (mort en 748H), Ibn Rajab (mort en 751H) et Ibn ’Abdul-Hadi (mort en 744H), ainsi que deux de ses fils, Ibrahim et Sharafud-Din ’Abdullah. L’Imam Ibnul-Qayyim -rahimahoullah- fut l’auteur de plus de soixante travaux. Ses livres et écrits sont caractérisés par ses discours touchants destinés au cœur et à l’âme, ainsi que par leur exactitude, leur précision, la force des arguments et la profondeur de la recherche. Ses écrits incluent : l’Iamul-Muwaqi’in, Turuqul-Hukmiyyah, Ighathatul-Lahfan, Tuhfatul-Mawlud, Ahkam Ahlul-Dhimmah et al-Farousiyyah, tous dans le domaine du fiqh et de l’ousoul. En matière de hadith et de sirah (biographie) on peut trouver : Tahdhib Sunan Abi Dawoud, al-Manarul-Munif et Zadul-Ma’ad. Dans le domaine de la ’aquidah (croyances) : Ijtima’ al-Juyyoushul-lslamiyyah, as-Sawa’iqul-Mursalah, Shifa‘ul-’Aleel, Hadyal-Arwah, al-Kafiyatush-Shafiyah et Kitabur-Rooh. Dans le domaine de l’akhlaq (morale) et tazkiyah (purification) : Madarijus-Salikin (un commentaire de Manazilus-Sa’irin), ad-Da’ wad-Dawa’ : al-Jawabul-Kafi, al-Wabilus-Sayyib, al-Fawa‘id, Risalatut-Taboukiyyah, et ’Uddatus-Sabirin. D’autres livres comprennent : at-Tibyan fi Aqsamil-Qur‘an, Bada‘i’ul-Fawa‘id, Jala‘ul-Afham et Miftah Darus-Sa’adah. PAROLES DES SAVANTS A SON SUJET : Des hommages sur sa compréhension du savoir et sa ferme adhérence à la voie des Salaf ont été donnés par un nombre de Savants ; avec parmi eux : [1] Al-Hafidh Ibn Rajab, qui a dit dans Dhayl Tabaqatul-Hanabilah (4/448) : "Il avait une grande connaissance du tafsir et de ousoulud-din (fondements de la Religion), ayant atteint le plus haut degré dans ces deux domaines. De même dans le domaine du hadith, en ce qui concerne la compréhension de leurs sens, leurs subtilités et en déduire des règles. Egalement, en matière de fiqh et ses ousoul (principes), ainsi que la langue arabe. Il a rendu un grand service à ses sciences. Il était aussi bien instruit au sujet du kalam (discours et rhétorique des innovateurs), qu’au sujet des subtilités et des détails que l’on trouve dans les paroles des gens du tasawwuf (soufisme). » [2] Al-Haafidh Ibn Hajar, qui a dit à son sujet dans ad-Durarul-Kaaminah (4/21) : "Il possédait aussi bien un esprit courageux qu’un savoir complet et extrêmement étendu. Il avait une profonde connaissance concernant les divergences d’opinions des Savants et concernant les voies des Salafs." Ibn Hajar -rahimahullah- a aussi dit, dans son éloge de ar-Raddul-Waafir (p.68) : " Et si chaykh ibn taymiyya n’avait aucune vertu sauf son célèbre étudiant, Shaykh Shamsud-Deen Ibnul-Qayyim al-Jawziyyah -l’auteur de plusieurs travaux, dont autant ses opposants que ses partisans ont profité - alors cela serait une indication suffisante de sa (de Ibn Taymiyyah) grande position." [3] Ibn Naasir ad-Dimishqee a dit à son sujet dans ar-Raddul-Waafir (p. 68) : "Il a la science des sciences (islamiques), particulièrement la science du tafsir et de l’ousoul. Il a aussi dit : Aboo Bakr Muhammad Ibnul-Muhib a dit, tel qu’il est écrit dans sa lettre : J’ai dis devant notre Shaykh al-Mizzee : Ibnul-Qayyim est-il au même niveau que Ibn Khuzaymah ? Il répondit : Il est à cette époque, ce que Ibn Khuzaymah était à son époque." [4] As-Suyootee a dit dans Baghiyyatul-Wi’aat (1/62) : "Ses livres n’avaient pas d’égal et il a fait des efforts et a traversé la voie des grands Imams dans le [domaine du] tafsir, hadith, ousoul (fondements), furou’ (branches) et la langue Arabe." [5] Mullaa ’Alee al-Qaaree, qui a dit dans al-Mirqat (8/251) : "Ce sera clair pour quiconque désire lire l’explication de Manaazilus-Saa‘ireen, qu’ils [i.e. Ibn Taymiyyah et Ibnul-Qayyim] font partie des kibar (les plus grands) de Ahlus-Sunnah wal-Jama’ah, et de al awliya’ de cette Ummah." SA MORT : Imaam Ibnul-Qayyim est décédé à l’âge de soixante ans, la 13ème nuit de Rajab, 751H. Qu’Allah le couvre de Sa miséricorde. Post-Scriptum : Tiré de www.troid.org Traduit par Ummu Wassim, revu et corrigé par ummissa
- فرنسي
- فرنسي
Al-Hâfidh Zayn ud-Dîn ibn Rajab al-Hanbaly (736H-795H) Son nom, sa kounya, son surnom et sa filiation : Il était le noble Imaam, le hafidh, le critique, Zayn ud-Dîn ‘Abdur-Rahmaan bin Ahmad bin ‘Abdir Rahmaan bin al-Hassan bin Muhammad bin Abil-Barakaat Mas’oud as-Salamî al-Baghdadi (dû à son lieu de naissance). Al-Hanbali (dû à son madh-hab), Ad-Damichqui (dû à son lieu de résidence et à son lieu de mort). Sa kounya était Abul-Faradj et son surnom était Ibn Radjab qui était aussi le surnom de son grand-père qui est né durant ce mois (de Radjab). Sa naissance et son éducation : Il naquit à Baghdad en l’an 736H et fut élevé par une famille bien cultivée, fermement enracinée dans la science, la noblesse et la piété. Son père joua le plus grand rôle dans son éducation en le dirigeant vers le savoir bénéfique. Ses professeurs : Il apprit sa science des plus grands savants de la Oumma de son temps. À Damas, il étudia auprès de Ibn Qayyim al-Djawziyya, Zayn-oud-Dîn al-‘Iraaqi, Ibn an-Naqîb, Muhammad Isma’îl al-Khabaaz, Dawoud bin Ibrahim at-‘Ataar, Ibn Qaadi al-Djabal et Ahmad bin ‘Abdil-Haadi al-Hanbali. À la Mecque, il étudia chez al-Haafidh al-‘Alaa’î. En Égypte, il étudia auprès de Sadr-oud-Dîn Abul-Fath Al-Maydoumi et Naasir oud-Dîn bin al-Malouk. Les postes auxquels il fut nommé : Ibn Radjab se dévoua à la science et passa tout son temps dans les recherches, l’écriture, l’enseignement, (et) les travaux dans le domaine de la science et il délivrait des avis juridiques (fataawa). On lui attribua un poste d’enseignant à l’école Hanbalite en 719H mais on le remplaça. Du vivant de son père, il reçut la charge du cercle d’études (halaqa) le mardi dans la Mosquée Centrale de Banou Oumayyah. Ceci fut après la mort de Ibn Qaadi al-Djabal et l’année 771H, qu’Allaah lui fasse miséricorde. Ses étudiants : Les étudiants de la science se tournèrent vers Al-Haafidh ibn Radjab (rahimahoullah) pour étudier auprès de lui, pour profiter de ses connaissances et pour entendre ses narrations (ahadith). Ceci car il était l’Imaam de la science de hadith ; que ce soit dans le rapport des narrations que dans leur étude. Ceci est du au fait qu’il y consacra une si grande partie de son temps, qu’il ne fut connu que par [sa science] des ahadith ; par conséquent on ne pouvait trouver personne de plus compétent que lui (à cette époque). Parmi ses étudiants les plus célèbres : (1) Aboul-‘Abbaas Ahmad bin Abi Bakr bin ‘Ali al-Hanbali, connu sous le nom de Ibn ar-Risaam [mort en 884H], (2) Aboul-Fadl Ahmad bin Nasr bin Ahmad, le Mufti de l’Égypte [mort en 844H], (3) Dawoud bin Soulaymaan al-Mawsili [mort en 844H], (4) ‘Abdur-Rahmaan bin Ahmad bin Muhammad al-Muqri, (5) Zayn-ud-Dîn ‘Abdur-Rahmaan bin Sulaymaan bin Abil-Karam, connu sous le nom de Abu Shi’ar, (6) Abu Dharr az-Zarkachi [mort en 846H], (7) le juge ‘Alaa-ud-Dîn Ibn al-Lahaam al-Ba’ali [mort en 803H], et (8) Ahmad bin Sayf-id-Dîn al-Hamawi. Les savants qui ont fait ses éloges : [1] Ibn Qaadi Chuhbah a dit de lui dans sa biographie comme mentionné dans Al-Djawar oul-Mounaddad (p.48) : « Il a lu et est devenu compétant dans de nombreux domaines de la science. Il étudia les questions du madh-hab (Hanbalite) jusqu’à ce qu’il puisse les maîtriser. Il se dévoua dans l’occupation de la science des textes, des erreurs et des significations des ahadith. Il s’isolait pour la rédaction. » Ibn Hadjar a dit de lui dans Inbaa ul-Ghamr : « Il était très compétent dans les disciplines scientifiques du hadith, en matière de noms des rapporteurs, leurs biographies, leur chaîne de transmission et la conscience de leur signification. » Ibraaheem bin Muhammad Ibn Muflih : « Il était le Cheikh, le grand savant, le Haafidh, celui qui s’est détaché de la vie d’ici bas. Il était le Cheikh du madh-hab Hanbali et il écrivit plusieurs livres intéressants. » Son dogme : Ibn Radjab (rahimahoullah) suivait la voie des pieux prédécesseurs (minhadj des Salaf) dans sa croyance (Imaan) et dans la manière d’acquérir le savoir. Il (l’a) [la voie] soutenue et défendue contre les faux arguments de ses opposants. Ses livres en regorgent d’exemples. De plus, il a écrit des traités qui abordaient spécifiquement ce sujet tel que son livre « Bayaan Fadlou ‘Ilm-is-Salaf ‘alaal-Khalaf » . Cependant, on peut trouver des traces de Soufisme dans ses livres, qu’Allaah le protège de l’égarement vers cette voie dangereuse, dû à ce qu’Allaah lui a donné comme vastes connaissances dans le domaine des narrations (ahadith) une méthodologie salafiyyah claire. Son madh-hab (en ce qui concerne les sciences auxiliaires) : En jurisprudence (fiqh), il (rahimahoullah) suivait le madh-hab du vénérable Imaam, Ahmad bin Hanbal, qu’Allaah lui fasse miséricorde. Il est considéré comme étant l’un des plus grands savants de ce madh-hab ainsi qu’un des plus compétents. Son livre : « Al-Qawaa’id al-Koubraa fil-Fourou’ » le prouve bien, car il s’agit de son œuvre la plus importante dans le domaine de fiqh. Ce dernier démontre ses grandes connaissances à propos des détails complexes dans le Fiqh. Ceci au point que Al-Haafidh ibn Hadjar a dit dans son livre ad-Durar : « Il fit un excellent travail sur ce sujet. » De plus, Ibn Qaadi Chuhbah et Ibn Muflih ont dit : « Ceci indique sa connaissance complète du madh-hab (hanbalite). » Comme cité dans Kachf-udh-Dhounoun : « C’est un livre qui fait partie des merveilles de ce temps, de telle sorte qu’il chercha à donner beaucoup d’explications dans ce dernier. Il y a des gens qui prétendent qu’il trouva les principes dispersés d’Ibn Taymiyya et les rassembla, mais cela est faux. Plutôt, il, qu’Allaah lui fasse miséricorde, était au dessus de cela. Ceci fut ce qu’il cita. » Al-Haafidh ibn Radjab, qu’Allaah lui fasse miséricorde, était profondément attaché aux travaux d’Ibn Taymiyya, car il délivrait des avis juridiques en conformité avec ceux-ci et il se référait constamment à ses livres. Ceci est dû au fait qu’il étudia auprès de Ibn Qayyim al-Djawziyyah, l’étudiant le plus remarquable d’Ibn Taymiyya, qu’Allaah leur fasse tous miséricorde. Cependant, malgré cela, il (rahimahoullah) ne suivait pas son professeur d’une manière aveugle ou fanatique. Au contraire, il authentifiait, vérifiait et s’attachait aux preuves. Ses travaux écrits : Al-Haafidh Ibn Radjab, qu’Allaah lui fasse miséricorde, était considéré comme étant l’un des savants les plus connus et compétents en rédaction de son temps. Ainsi, il avait un grand nombre de travaux intéressants dans les domaines du tafsir, hadith, fiqh, de l’histoire, et raqaa’iq (œuvres qui adoucissent le cœur). Parmi ses livres il y a : Dans le domaine de tafsir et de la science coranique : 1. Tafsir Sourah al-Ikhlaas 2. Tafsir Sourah al-Faatihah 3. Tafsir Sourah an-Nasr 4. I’raab al-Basmalah 5. Al-Istighnaa bil-Qour’aan Dans le domaine du hadith et de ses sciences : 1. Charh Jaami’ at-Tirmidhee 2. Charh ‘Ilal at-Tirmidhee 3. Fat-h oul Baaree bi-Charh Sahîh al-Boukhaari 4. Jaami’-oul-‘Ouloum wal Hikam fi Charh Khamsina Hadithan min Jawaami’-il-Kalim , qui est la source de ce livre. Il avait aussi une collection de traités qui expliquent des ahadith individuellement, tels que : 5. Sharh Hadith : Maa Dhi’baani Jaa’iaan oursilaa fî Ghanam ... [La soif de la richesse et du prestige] 6. Ikhtiyaar al-Awlaa fî Sharh Hadith Ikhtisaam al-Mala al-A’alaa 7. Nour-oul-Iqtibaas fî Mishkaat Wasiyyat-in-Nabee Libn ‘Abbaas 8. Ghayaat-un-Nafa’ fî Charh Hadith Tamthil-ul-Mu’min bi-Khaamat-iz-Zara’ 9. Kashf-oul-Kourbah fî Wasfi Haali Ahlil-Ghourbah [Le soulagement du chagrin dans la description de la condition des étrangers] Et plusieurs autres. Dans le domaine du fiqh : 1. Al-Istikhraaj fee Ahkaam-il-Kharaaj 2. Al-Qawaa’id-ul-Fiqhiyyah 3. Kitaab Ahkaam-ul-Khawaateem wa maa yata’alaqu bihaa Dans le domaine des biographies et des évenements historiques : 1. Adh-Dhayl ‘alaa Tabaqaat-il-Hanaabilah 2. Mukhtasar Seerah ‘Umar bin ‘Abdil-‘Azeez 3. Seerah ‘Abdul-Malik bin ‘Umar bin ‘Abdil-‘Azeez Dans le domaine des raqaa’iq et des exhortations : 1. Lataa’if-ul-Ma’aarif feemaa Li-Mawaasim-il-‘Aam min al-Wadhaa’if 2. At-Takhweef min an-Naar wat-Ta’reef bi-Haali Daar-il-Bawaar 3. Al-Farq bayna an-Nasehah wat-Ta’yeer [La différence entre conseiller et condamner] 4. Ahwaal Ahlil-Qoubour Sa fin : Al-Haafidh ibn Radjab, qu’Allaah lui fasse miséricorde, décéda un lundi soir, le quatrième jour du mois de Ramadan, en l’an 795H. Il mourut à Damas dans un territoire qui était appelé al-Houmayriyyah, dans un jardin qu’il louait. Sa prière funéraire fut accomplie le lendemain et il fut enterré dans le cimetière Baab as-Saghîr, à côté du Cheikh Aboul-Faradj ach-Chiraazî. [1] Note du traducteur d’al-Ibaanah : Cette partie fut ajoutée à la traduction pour un bienfait supplémentaire. Post-Scriptum : Auteur : Salîm Al-Hilaali Source : « Iqaadh-oul-Himam » un résumé de « Jaami oul-Ouloum wal Hikam » (p. 8-11). Produit par : Al-Ibaanah.com Traduit par l’équipe de Sounna.com
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي
- فرنسي