Il faut que la peur à l’égard de notre mauvaise fin en ce monde soit réellement présente dans nos cœurs, à tout moment, car c’est cette grande peur qui nous incite à agir dans le bien et éviter au maximum le mal et ses tentations néfastes. Allah le Très-Haut dit : [Informe Mes serviteurs que c’est Moi le Pardonneur, Le très Miséricordieux et que Mon châtiment est, lui, le châtiment douloureux.] Voici un bon sermon de notre frère Soufiane à ce sujet.

Ce petit fascicule indique quelques points intéressants de la daawa islamique authentique qui répondent à cette question : Quelles sont les priorités et la voie à suivre du musulman ? A lire et à méditer.

Allah le Sage sait parfaitement ce qu’Il décrète et les jugements qu’Il saisit. Il est le Sage par excellence et sait bien les lois qu’Il établit et les ordres qu’Il donne. Il crée les signes de façon à faire peur à ses créatures, à leur rappeler leurs devoirs et à les avertir contre le polythéisme, l’inobservance de Ses ordres et la transgression de ses interdits. Allah dit : « En outre, Nous n’envoyons de miracles qu’à titre de menace. » Ce sermon rappelle les leçons à tirer des tremblements de terre pour le musulman.

Ce sermon explique au musulman la valeur du temps et comment faut-il l’occuper. Aussi, pour mieux occuper ce temps précieux, il faut d’abord s’efforcer à accomplir les obligations et en premier lieu les piliers de l’islam et ensuite s’appliquer à multiplier les œuvres volontaires.

La droiture, quelle est sa réalité et quelle doit être sa place dans notre existence ? Tout musulman adorant son Seigneur demande avec force à Allah de lui accorder ce bienfait lors de sa lecture de la Fatiha : « Guide-nous sur le droit chemin ». Notre frère Éric Younous nous présente cette droiture sous trois aspects principaux : La relation de soi même à Allah, étant un état du cœur et une compréhension véritable de l’unicité divine de notre Seigneur à travers Ses Noms et Attributs. L’autre aspect est la relation de soi-même aux autres, et la prise de conscience de la noblesse de la personnalité du Prophète (sur lui la paix) posée comme modèle absolu pour tous les musulmans. Enfin, la dernière dimension est la relation de soi à soi, vis-à-vis de notre apparence qui doit être le reflet de ce que renferment nos poitrines comme trésors de spiritualité.

Ce sermon de notre frère Fouad est un rappel pour tout musulman concernant la réussite. En effet, toute réussite qui satisfait Allah n’est acquise que par sa grâce. Sans la grâce d’Allah nous n’aurions pu concrétiser aucun bien, aucune bonne action. Lorsqu’Allah te touche par un bienfait alors remercie-le et fais en sorte de cultiver ton jardin des bonnes œuvres, car la vie est courte et le jour dernier très long.

Ce sermon est l’explication d’une partie des conseils du Prophète (sur lui la paix) adressés à Ibn Abbas encore jeune (qu’Allah l’agrée) :« Sois reconnaissant envers Allâh dans l’aisance, Il le sera pour toi dans l’adversité... » La gratitude est le fait des pieux et l’ingratitude est celui des insouciants.

La vie humaine détient une grande valeur en Islam. Allah dit :(Certes, Nous avons honoré les fils d’Adam. Nous les avons transportés sur terre et sur mer, leur avons attribué de bonnes choses comme nourriture, et Nous les avons nettement préférés à plusieurs de Nos créatures.) Ce sermon de notre frère Fouad montre cela en donnant quelques exemples probants comme celui du suicide, de l’alcool, de la drogue ou encore de la cigarette. L’islam est venu aussi pour garantir à l’être humain une vie saine et heureuse.

L’agonie avant la mort est une réalité que personne ne peut nier, et d’après la tradition, la souffrance endurée par le mourant est immense. On rapporte que l’agonie serait bien plus violente que le simple fait d’être scié en deux vivant ou d’être enfermé dans une marmite d’eau bouillante. Même le prophète de Dieu (sur lui la paix) demanda également un bol d’eau dans lequel il plongea sa main bénie pour rafraîchir son visage que la douleur ravageait, en prononçant : « L’agonie de la mort est sans doute une vérité ». Voici une conférence de notre frère bien-aimé Soufiane qui nous explique en détail les affres de la mort.

Cette série rassemble les efforts prodigués par le centre éducatif du palmier. Chaque mois s’y déroulent des conférences bénéfiques données par différents prêcheurs, qu’Allah les préserve et les assiste ! Des fruits à savourer avec délectation...

Allah dit: (Combien avons-Nous détruit, avant eux, de générations bien plus fortes qu’eux ? Ils ont parcouru la terre, cherchant vainement où fuir. Il y a bien là un rappel pour quiconque a un cœur et prête l’oreille lorsqu’il est présent ou témoin). Le cœur du musulman doit être un cœur vivant. Une vie qui se ressent dans sa vision des choses, dans sa foi et son aspiration à faire le bien. Un cœur mort peut-il s’émouvoir ? Voici une belle exhortation de notre frère Éric qui incite à la réflexion...

« Le Messager d’Allah (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) a dit : « les les variations climatiques sont une sagesse de notre Seigneur. L’Enfer s’est plaint auprès de son Seigneur en lui disant : "Seigneur ! Je suis en train de m’auto-détruire (mes flammes se consument)." L’ordre lui a été donné alors de souffler deux fois : l’une en hiver et l’autre en été. Le Premier souffle est ce que vous ressentez comme froid rigoureux en hiver, et le deuxième, est ce que vous ressentez comme canicule en été.» Notre frère Soufiane nous montre quelles leçons devons-nous tirer du froid.

Cette belle conférence donnée dans la mosquée de Noisiel montre l’importance de l’effort que chacun doit faire contre son âme qui insuffle sans cesse le mal et la turpitude. Comment éradique-t-on ses désirs malsains et ses passions dévastatrices ? Par quels moyens l’âme s’éduque-t-elle ? Notre frère Soufiane nous offre une excellente exhortation qui met du baume à nos cœurs insouciants ; à quand la mise en pratique !

Cette exhortation de notre frère bien-aimé Éric Younous met en relief la valeur de la sagesse en islam. L’islam éduque les âmes afin qu’elles puissent atteindre la cime des honneurs. La sagesse contribue à cette éducation. A méditer !

La foi du musulman s’affaiblit, la passion le domine, Satan lui embellit les actes de rébellion, il se fait tort et tombe dans ce qu’Allah a interdit. Mais Allah est tendre à l’égard de Ses serviteurs. Sa miséricorde embrasse toute chose. Ressaisis-toi mon frère, ma sœur ! La porte du repentir est toujours ouverte ! Voici un sermon de notre frère Bien-aimé Soufiane qu’Allah le préserve et sa famille !

A cette époque, on voit un nombre grandissant de personnes qui s’affilient à la science et la prédication du bien entacher l’honneur de beaucoup de leurs frères prêcheurs connus, et porter atteinte à la réputation des étudiants en science, des prêcheurs en général ainsi que des conférenciers. Ils commettent cela, de manière discrète dans leurs assises, peut-être même qu’ils enregistrent ces conférences sur des cassettes que l’on propage. Il arrive qu’ils fassent cela publiquement dans les mosquées où assiste le commun des gens. Cette voie est en opposition avec ce qu’Allah ainsi que Son Prophète ont ordonné, sur plusieurs aspects que le Cheikh (qu’Allah lui fasse miséricorde) a expliqué en six points dans cet article utile pour la communauté et surtout la jeunesse musulmane.

La chaleur est un signe de Dieu Tout-Puissant. la chaleur est une émanation de l’enfer. L’enfer s’étant plaint au Seigneur disant : Seigneur, je me dévore moi-même, le Seigneur autorisa alors l’enfer à pratiquer deux émanations, une en hiver, l’autre en été. C’est à l’un de ces moments que vous éprouvez la plus grande chaleur, tandis qu’à l’autre vous éprouvez le plus grand froid." Voici une belle exhortation de notre frère Soufiane abou Ayyoub.

La foi du musulman s’affaiblit, la passion le domine, Satan lui embellit les actes de rébellion, il se fait tort et tombe dans ce qu’Allah a interdit. Mais Allah est tendre à l’égard de Ses serviteurs. Sa miséricorde embrasse toute chose. Ressaisis-toi mon frère, ma sœur ! La porte du repentir est toujours ouverte ! Voici deux belles conférences de notre frère Bien-aimé Bouzeyd qu’Allah le préserve et sa famille !

Le judaïsme, le christianisme, et l’Islam ont-ils la même conception des femmes ou sont-ils différents dans leurs conceptions ? Le judaïsme et le christianisme, offrent-ils vraiment, aux femmes un meilleur traitement que celui de l’Islam ? Quelle est la vérité ? Il n’est pas facile de faire des recherches et de trouver des réponses à des questions aussi difficiles. La première difficulté est qu’on doit être équitable et objectif. C’est ce que l’Islam nous enseigne. L’autre grande difficulté est la grandeur accablante du sujet. Par conséquent, pendant les dernières années, j’ai consacré beaucoup de temps pour lire la bible, l’encyclopédie de la religion, et l’encyclopédie judaïque pour chercher des réponses. J’ai également lu plusieurs livres écrits par des étudiants, des apologistes, et des critiques qui discutent de la position des femmes dans les différentes religions. Ce livre représente les résultats importants de cette humble recherche.

Cette conférence est une explication de la belle parole du valeureux compagnon Abdullah Ibn Massoud (qu’Allah soit satisfait de lui) : "Recherche ton cœur dans trois situations : Lorsque tu écoutes le Coran, lorsque tu es dans les assemblées de rappel d’Allah (dhikr), et lorsque tu es seul, si tu ne le trouves pas pendant ces trois instants, alors demande à Allah de te donner un cœur, car tu n’en as pas !"